Algérie

Le calendrier des épreuves connu



Le calendrier des épreuves connu
La date de retrait des convocations et désignation des centres d'examen auront lieu le 13 juin prochain, a annoncé Benghebrit, indiquant que les "candidats arrivés en retard aux épreuves initiales sont autorisés à refaire l'examen contrairement à ceux coupables de fraude".La date de retrait des convocations et désignation des centres d'examen auront lieu le 13 juin prochain, a annoncé Benghebrit, indiquant que les "candidats arrivés en retard aux épreuves initiales sont autorisés à refaire l'examen contrairement à ceux coupables de fraude".Les "examens partiels se dérouleront selon le schéma scientifique et pédagogique habituel et dans les mêmes conditions qui entourent les épreuves et les corrections", a précisé Nouria Benguebrit. Elle a ajouté que toutes les informations relatives aux modalités d'organisation et déroulement des épreuves à refaire seront communiquées aux établissements scolaires et aux directions de wilayas de l'éducation, ainsi que sur le site internet du ministère.A rappeler que les examens partiels du baccalauréat à refaire auront lieu du 19 au 23 juin courant. Il s'agit de sept matières pour les sciences expérimentales et de quatre matières pour les filières des mathématiques, maths-technique et gestionéconomie.Un calendrier d'épreuves soupleLa ministre a souligné que le calendrier des examens qui se dérouleront pendant le mois de Ramadhan est souple, précisant que l'épreuve de mathématiques sera, à titre d'exemple, organisée lundi 20 juin de 9 h à 12 h 30, l'épreuve de sciences le mercredi 22 juin de 9 h à 13h 30 . Et l'épreuve de physique sera organisée le jeudi 23 juin de 9h à 12 h 30. Concernant la correction, Mme Benghebrit a rappelé le maintien du dispositif mis en place pour cette opération ainsi que les dates retenues pour annoncer les résultats.Les résultats connus début juilletLes résultats du Bac, toutes filières confondues, seront connus le même jour soit la première semaine du mois de juillet prochain, a-t-elle annoncé. A cette occasion, elle a appelé les candidats à "redoubler d'efforts et de persévérance", exhortant la famille éducative à "faire preuve de vigilance pour préserver la crédibilité de cet examen par la consécration du principe de mérite et de la reconnaissance de l'effort".La ministre a affirmé que les établissements "resteront ouverts pour permettre aux candidats devant refaire l'examen de réviser en groupe". Un accompagnement psychologique est assuré grâce à la mobilisation des conseillers pédagogiques et d'orientation.38 % des candidats concernésPar ailleurs la ministre de l'Education nationale a indiqué que 38 % de l'ensemble des candidats au baccalauréat (session juin 2016) sont concernés par les épreuves à refaire au titre des examens partiels ayant fait l'objet de fuites de sujets.Mme Benghebrit a indiqué que "38 % de l'ensemble des candidats (sur 818.518 au niveau national) sont concernés par les examens partiels du Bac alors que le taux des candidats concernés par les matières en commun est de 21 %".Afin de préserver les chances de réussite des candidats, les partenaires sociaux du secteur de l'Education (associations de parents d'élèves et syndicats) ont estimé de leur côté que la réorganisation partielle du baccalauréat était un "compromis" qui permettait de préserver les chances de réussite de tous les candidats."L'Association nationale des parents d'élèves (ANPE) a accepté la réorganisation partielle du baccalauréat en juin car il s'agit d'un compromis qui préserve les chances de réussite de tous les candidats", a déclaré son président, Khaled Ahmed, en marge de la conférence de presse organisée par le ministère de l'Education nationale.Le secrétaire général du Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef), Boualem Amoura, a, pour sa part, estimé que la réorganisation d'une partie des épreuves du baccalauréat était à même de "préserver les chances de réussite des élèves qui ont fourni un effort". Pour le responsable syndical, cette mesure permet de "préserver le principe d'égalité des chances".Le président de la Fédération nationale des travailleurs de l'éducation (FNTE), affiliée à l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Ferhat Chabekh, s'est félicité de la réorganisation partielle de l'examen, appelant à sévir contre les auteurs du scandale des fuites afin de dissuader tous ceux qui veulent déstabiliser l'Algérie.Le président de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), Sadek Dziri, a, de son côté, affirmé que la réorganisation partielle des épreuves du baccalauréat est une revendication des syndicats du secteur, précisant que son organisation syndicale avait d'abord appelé à la réorganisation de l'examen dans son intégralité, mais, a-t-il dit, les rapports de la Gendarmerie nationale ont démontré que certaines filières ont été épargnées par les fuites.Le coordonnateur national du Syndicat national autonome des professeurs du secondaire et du technique (Snapest), Meziane Meriane, a, quant à lui, estimé que la réorganisation partielle du baccalauréat était "la seule solution envisageable dans l'intérêt de l'élève".Vers une réorganisation des examens nationauxLa ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a affirmé, que des changements dans l'organisation et la programmation des examens notamment celui du Bac étaient "désormais plus que nécessaires après la douloureuse expérience de la session 2016".Le ministère de l'Education nationale "est déterminé à tirer les leçons de cette mauvaise expérience", a indiqué Mme Benghebrit lors d'une conférence de presse, estimant que "des changements dans l'organisation et la programmation des examens nationaux notamment le Bac sont désormais un impératif".Elle a souligné que "les résultats du comité mixte entre le ministère et ses partenaires sociaux installé à cet effet seront prochainement présentés". Elle a rappelé également que l'année scolaire 2015/2016 a été empreinte de "calme et a permis l'application du programme scolaire sans précipitation aucune", relevant que cela "a été possible grâce au sens de responsabilité dont ont fait montre les organisations syndicales du secteur".D'autre part, Mme Benghebrit a salué "les efforts consentis par les pouvoirs publics en direction de l'école afin de garantir le bon déroulement des examens nationaux", précisant que ces derniers "continuent de nous accompagner et soutenir notre travail en plaçant l'intérêt de l'élève et de l'enseignant au dessus de toute autre considération".Elle a rappelé à ce propos, "les réalisations enregistrées cette année scolaire à travers l'organisation de trois examens nationaux", considérant que les personnes responsables des fuites constatées lors du déroulement de l'examen du Bac "ont tenté de déstabiliser le secteur et seront dévoilées après l'enquête en cours".La fuite des sujets "a perturbé le bon déroulement de l'examen et ne peut être considérée comme une fraude pour l'obtention du Bac indépendamment du nombre de candidats et l'importance de cet examen aux yeux de la famille éducative", a-t-elle poursuivi avant de dire que la fuite des sujets était une "tentative de sabotage du pays"."Sans vouloir entamer le déroulement de l'enquête menée par les services compétents ou anticiper sur ses résultats, je peux néanmoins affirmer que les personnes qui sont derrière cet acte criminel voulaient porter un coup au pays dans ce qu'il a de plus cher à savoir son système éducatif et de l'enseignement", at- elle poursuivi.Elle a fait part de sa "fierté de la maturité et du discernement de la société à travers sa solidarité avec la famille éducative après avoir dénoncé ce complot hostile à la patrie", ajoutant "ce qui rassure encore davantage est la position des élèves et de leurs parents à l'égard de ces actes".Elle a exprimé enfin, sa "satisfaction à l'égard de l'efficacité de la coordination entre les différents départements ministériels en répondant rapidement aux demandes du secteur durant les différentes étapes de l'examen", saluant tout particulièrement le rôle des services de la Gendarmerie et de la Sûreté nationales".Les "examens partiels se dérouleront selon le schéma scientifique et pédagogique habituel et dans les mêmes conditions qui entourent les épreuves et les corrections", a précisé Nouria Benguebrit. Elle a ajouté que toutes les informations relatives aux modalités d'organisation et déroulement des épreuves à refaire seront communiquées aux établissements scolaires et aux directions de wilayas de l'éducation, ainsi que sur le site internet du ministère.A rappeler que les examens partiels du baccalauréat à refaire auront lieu du 19 au 23 juin courant. Il s'agit de sept matières pour les sciences expérimentales et de quatre matières pour les filières des mathématiques, maths-technique et gestionéconomie.Un calendrier d'épreuves soupleLa ministre a souligné que le calendrier des examens qui se dérouleront pendant le mois de Ramadhan est souple, précisant que l'épreuve de mathématiques sera, à titre d'exemple, organisée lundi 20 juin de 9 h à 12 h 30, l'épreuve de sciences le mercredi 22 juin de 9 h à 13h 30 . Et l'épreuve de physique sera organisée le jeudi 23 juin de 9h à 12 h 30. Concernant la correction, Mme Benghebrit a rappelé le maintien du dispositif mis en place pour cette opération ainsi que les dates retenues pour annoncer les résultats.Les résultats connus début juilletLes résultats du Bac, toutes filières confondues, seront connus le même jour soit la première semaine du mois de juillet prochain, a-t-elle annoncé. A cette occasion, elle a appelé les candidats à "redoubler d'efforts et de persévérance", exhortant la famille éducative à "faire preuve de vigilance pour préserver la crédibilité de cet examen par la consécration du principe de mérite et de la reconnaissance de l'effort".La ministre a affirmé que les établissements "resteront ouverts pour permettre aux candidats devant refaire l'examen de réviser en groupe". Un accompagnement psychologique est assuré grâce à la mobilisation des conseillers pédagogiques et d'orientation.38 % des candidats concernésPar ailleurs la ministre de l'Education nationale a indiqué que 38 % de l'ensemble des candidats au baccalauréat (session juin 2016) sont concernés par les épreuves à refaire au titre des examens partiels ayant fait l'objet de fuites de sujets.Mme Benghebrit a indiqué que "38 % de l'ensemble des candidats (sur 818.518 au niveau national) sont concernés par les examens partiels du Bac alors que le taux des candidats concernés par les matières en commun est de 21 %".Afin de préserver les chances de réussite des candidats, les partenaires sociaux du secteur de l'Education (associations de parents d'élèves et syndicats) ont estimé de leur côté que la réorganisation partielle du baccalauréat était un "compromis" qui permettait de préserver les chances de réussite de tous les candidats."L'Association nationale des parents d'élèves (ANPE) a accepté la réorganisation partielle du baccalauréat en juin car il s'agit d'un compromis qui préserve les chances de réussite de tous les candidats", a déclaré son président, Khaled Ahmed, en marge de la conférence de presse organisée par le ministère de l'Education nationale.Le secrétaire général du Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef), Boualem Amoura, a, pour sa part, estimé que la réorganisation d'une partie des épreuves du baccalauréat était à même de "préserver les chances de réussite des élèves qui ont fourni un effort". Pour le responsable syndical, cette mesure permet de "préserver le principe d'égalité des chances".Le président de la Fédération nationale des travailleurs de l'éducation (FNTE), affiliée à l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Ferhat Chabekh, s'est félicité de la réorganisation partielle de l'examen, appelant à sévir contre les auteurs du scandale des fuites afin de dissuader tous ceux qui veulent déstabiliser l'Algérie.Le président de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), Sadek Dziri, a, de son côté, affirmé que la réorganisation partielle des épreuves du baccalauréat est une revendication des syndicats du secteur, précisant que son organisation syndicale avait d'abord appelé à la réorganisation de l'examen dans son intégralité, mais, a-t-il dit, les rapports de la Gendarmerie nationale ont démontré que certaines filières ont été épargnées par les fuites.Le coordonnateur national du Syndicat national autonome des professeurs du secondaire et du technique (Snapest), Meziane Meriane, a, quant à lui, estimé que la réorganisation partielle du baccalauréat était "la seule solution envisageable dans l'intérêt de l'élève".Vers une réorganisation des examens nationauxLa ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a affirmé, que des changements dans l'organisation et la programmation des examens notamment celui du Bac étaient "désormais plus que nécessaires après la douloureuse expérience de la session 2016".Le ministère de l'Education nationale "est déterminé à tirer les leçons de cette mauvaise expérience", a indiqué Mme Benghebrit lors d'une conférence de presse, estimant que "des changements dans l'organisation et la programmation des examens nationaux notamment le Bac sont désormais un impératif".Elle a souligné que "les résultats du comité mixte entre le ministère et ses partenaires sociaux installé à cet effet seront prochainement présentés". Elle a rappelé également que l'année scolaire 2015/2016 a été empreinte de "calme et a permis l'application du programme scolaire sans précipitation aucune", relevant que cela "a été possible grâce au sens de responsabilité dont ont fait montre les organisations syndicales du secteur".D'autre part, Mme Benghebrit a salué "les efforts consentis par les pouvoirs publics en direction de l'école afin de garantir le bon déroulement des examens nationaux", précisant que ces derniers "continuent de nous accompagner et soutenir notre travail en plaçant l'intérêt de l'élève et de l'enseignant au dessus de toute autre considération".Elle a rappelé à ce propos, "les réalisations enregistrées cette année scolaire à travers l'organisation de trois examens nationaux", considérant que les personnes responsables des fuites constatées lors du déroulement de l'examen du Bac "ont tenté de déstabiliser le secteur et seront dévoilées après l'enquête en cours".La fuite des sujets "a perturbé le bon déroulement de l'examen et ne peut être considérée comme une fraude pour l'obtention du Bac indépendamment du nombre de candidats et l'importance de cet examen aux yeux de la famille éducative", a-t-elle poursuivi avant de dire que la fuite des sujets était une "tentative de sabotage du pays"."Sans vouloir entamer le déroulement de l'enquête menée par les services compétents ou anticiper sur ses résultats, je peux néanmoins affirmer que les personnes qui sont derrière cet acte criminel voulaient porter un coup au pays dans ce qu'il a de plus cher à savoir son système éducatif et de l'enseignement", at- elle poursuivi.Elle a fait part de sa "fierté de la maturité et du discernement de la société à travers sa solidarité avec la famille éducative après avoir dénoncé ce complot hostile à la patrie", ajoutant "ce qui rassure encore davantage est la position des élèves et de leurs parents à l'égard de ces actes".Elle a exprimé enfin, sa "satisfaction à l'égard de l'efficacité de la coordination entre les différents départements ministériels en répondant rapidement aux demandes du secteur durant les différentes étapes de l'examen", saluant tout particulièrement le rôle des services de la Gendarmerie et de la Sûreté nationales".


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