Cette réflexion rentre dans un cadre d’un constat que l’Algérie a fait des progrès notables dans ses politiques de soutien au secteur hors hydrocarbures, mais en débit d’une allocation budgétaire très importante et de programmes de soutien nombreux, ces mesures demeurent sans effets notables sur la production et la valeur ajoutée qui ne représente même pas 4.8% du PIB, l’abondance des ressources financières ne règle pas les distorsion relatives aux facteurs structurels liés à l’environnement opérationnel qui reste d’une rigidité absolue.
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Posté Le : 25/09/2022
Posté par : einstein
Ecrit par : - Cherif Smail - Ourzik Lies
Source : Revue Etudes en Economie et Commerce et Finance Volume 4, Numéro 2, Pages 043-057 2015-12-29