Algérie

Le business entre les USA et l'Algérie va se tonifier



Les majors pétroliers américains lorgnent sur l'Algérie, en prévision de la nouvelle loi en gestation sur les hydrocarbures. Les contenus des conclusions du rapport du département d'Etat américain magnifient les immenses opportunités d'investissements dans pratiquement tous les domaines, ce qui justifie les relevés des experts en économie que notre pays est encore vierge, donc considéré comme fructueux.Le rapport du département d'Etat 2018 ne tarie pas d'éloges sur les potentialités favorables aux investissements dans pratiquement tous les secteurs économiques, en présentant pour ses hommes d'affaire, un terrain et un climat propices et favorables à un développement lucratif exceptionnel comparativement aux autres marchés dans le monde. La coopération entre les Etats-Unis et l'Algérie s'améliore d'année en année et ira selon les déclarations de Mike Pompeo, Secrétaire d'Etat américain, en se renforçant dans l'objection de promouvoir d'avantage les relations bilatérales.
A la fin du mois dernier à Washington, le ministre de l'Energie, Mustapha Guitouni avait attesté en marge de la Conférence mondiale sur le gaz que «la prochaine loi sur les hydrocarbures, rendra l'investissement dans le domaine minier plus attractif, et adapté au contexte international, tout en préservant les intérêts économiques de l'Algérie». Lors de la rencontre avec les participants à la conférence, Guitouni en homme averti des réticences de l'opinion publique algérienne, a précisé qu'au delà «de l'intérêt que porte l'Algérie aux investissements étrangers en vue de reconstituer les réserves», et introduire de nouvelles technologies de production, outre la débureaucratisassions, que l'Algérie globalement dans l'élaboration du texte législatif relatif aux hydrocarbures vise «à aller dans le sens du partage de la production induisant par conséquent un partage des risques, étant donné, que la règle 51/49 impose à l'Algérie un engagement financier à la hauteur de ses parts, y compris pour les partenariats avec les étrangers, concernant les PME/PMI «qui ne disposeraient pas d'aussi importantes ressources financières et humaines, leurs permettant de répondre aux exigences de l'investissement, qui ne poseraient pas problème pour les grands trusts».
Donc, pour desserrer la tenaille qui étrangle la participation financière des partenaires économiques, et les apports de nouvelles technologies qu'ils détiennent, des aménagements de la loi sur l'exploitation des hydrocarbures, et autres ressources minières, ainsi que la révision de la fiscalité pour les autres secteurs y afférente était un passage obligé pour attirer les Investissements Directs Etrangers. Les problématiques liés à la règle des 51/49 semblent se rapetisser. Le rapport du département d'Etat américain écrit à ce sujet que : «Le gouvernement et plusieurs investisseurs étrangers sont d'accord sur le fait que l'institution» de mesures adaptées peut atténuer l'effet «de cette disposition en permettant au partenaire étranger d'assurer le management de la joint-venture, et même en devenir le plus grand actionnaire, précise le rapport dans son édition de 2018.


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