Les prix du pétrole progressaient légèrement hier en cours d'échanges européens, après une semaine marquée par les inquiétudes sur le niveau de la demande, et en attendant la reprise des négociations sino-américaines.Les prix du pétrole progressaient légèrement hier en cours d'échanges européens, après une semaine marquée par les inquiétudes sur le niveau de la demande, et en attendant la reprise des négociations sino-américaines.
Ce lundi matin, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre valait 58,55 dollars à Londres, en hausse de 0,31% par rapport à la clôture de vendredi. A New York, le baril américain de WTI pour novembre gagnait 0,45 % à 53,05 dollars. La semaine dernière, le Brent a perdu 5,7% et le WTI 5,5%. Les acteurs du marché se sont effrayés d'une succession d'indicateurs décevants sur la santé de l'économie américaine, jusque-là plutôt épargnée par le ralentissement de la croissance mondiale. L'annonce mardi d'un nouveau recul de l'activité du secteur manufacturier, gros consommateur d'énergie, aux Etats-Unis en septembre, a en particulier ébranlé les acteurs du marché.
Les chiffres sur l'emploi américain, diffusés vendredi, ont en revanche soutenu les cours, alors que les créations d'emplois sont restées solides en septembre. Selon M. Fritsch, les investisseurs s'attendent à ce que la croissance de la demande de pétrole retrouve de la vigueur en 2020, après une année 2019 marquée par les craintes sur celle-ci. Mais, "cela nécessitera qu'une solution au conflit commercial, entre les Etats- Unis et la Chine, soit trouvée dans un futur proche", et en ce sens, les négociations qui doivent se tenir cette semaine à Washington seront scrutées par les investisseurs, a poursuivi M. Fritsch. "Certains espèrent que le président des Etats-Unis mettra plus d'énergie à trouver un compromis, compte tenu de la menace bien réelle d'une récession" en 2020, année électorale, a complété Stephen Brennock, analyste
Ce lundi matin, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre valait 58,55 dollars à Londres, en hausse de 0,31% par rapport à la clôture de vendredi. A New York, le baril américain de WTI pour novembre gagnait 0,45 % à 53,05 dollars. La semaine dernière, le Brent a perdu 5,7% et le WTI 5,5%. Les acteurs du marché se sont effrayés d'une succession d'indicateurs décevants sur la santé de l'économie américaine, jusque-là plutôt épargnée par le ralentissement de la croissance mondiale. L'annonce mardi d'un nouveau recul de l'activité du secteur manufacturier, gros consommateur d'énergie, aux Etats-Unis en septembre, a en particulier ébranlé les acteurs du marché.
Les chiffres sur l'emploi américain, diffusés vendredi, ont en revanche soutenu les cours, alors que les créations d'emplois sont restées solides en septembre. Selon M. Fritsch, les investisseurs s'attendent à ce que la croissance de la demande de pétrole retrouve de la vigueur en 2020, après une année 2019 marquée par les craintes sur celle-ci. Mais, "cela nécessitera qu'une solution au conflit commercial, entre les Etats- Unis et la Chine, soit trouvée dans un futur proche", et en ce sens, les négociations qui doivent se tenir cette semaine à Washington seront scrutées par les investisseurs, a poursuivi M. Fritsch. "Certains espèrent que le président des Etats-Unis mettra plus d'énergie à trouver un compromis, compte tenu de la menace bien réelle d'une récession" en 2020, année électorale, a complété Stephen Brennock, analyste
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Posté Le : 08/10/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com