Le bras d'honneur de l'ancien ministre français de la Défense sous Sarkozy ! Repentance de la France

Décidemment, qu'ils soient de gauche ou de droite, beaucoup de leaders politiques français n'arrivent pas à cacher leur haine viscérale envers ce peuple qui leur a fait mettre genou à terre, forcés à lui accorder son indépendance et qui vient aujourd'hui exiger une repentance franche et claire...
Décidemment, qu'ils soient de gauche ou de droite, beaucoup de leaders politiques français n'arrivent pas à cacher leur haine viscérale envers ce peuple qui leur a fait mettre genou à terre, forcés à lui accorder son indépendance et qui vient aujourd'hui exiger une repentance franche et claire...
Incroyable mais, hélas, vrai ! C'est avec un bras d'honneur que l'ancien ministre de la défense sous Nicolas Sarkozy, actuellement sénateur UMP, Gérard Longuet, a réagi mercredi 31, en direct, sur les ondes de la chaîne parlementaire LCI à la demande exprimée par notre ministre des Moudjahidine, Mohamed Cherif Abbas, appelant à «une reconnaissance franche des crimes perpétrés à leur encontre par le colonialisme français».
Longuet, qui réagissait avec ce geste de voyou au moment du générique, pensant peut-être qu'il n'était pas filmé, n'en a pas moins pleinement assumé son acte insolent et insultant, recevant même au passage le soutien de plusieurs de ses pairs, ce qui en dit long sur la haine viscérale que continuent de vouer à l'Algérie plusieurs hauts responsables français n'ayant jamais pu «gober» totalement leur indicible nostalgie du
paradis perdu.
Bref, ce geste indigne d'un ancien ministre de la Défense française n'en a pas moins bouleversé une partie du personnel politique hexagonal. Un haut responsable algérien, joint hier par téléphone, et s'exprimant sous le sceau de l'anonymat, nous a ainsi indiqué que ce geste représente la preuve absolue que «la France a été contrainte de partir de l'Algérie, et qu'elle ne voulait jamais quitter ce grand paradis stratégique et économique ».
Selon un directeur de rédaction dans un quotidien national, « avant de participer à une émission on doit être préparé, surtout pour quelqu'un qui occupait un poste aussi important que celui de Gérard Longhet, Il devait savoir que lors du générique les invités sont filmés, à moins que sa colère et sa haine ne l'aient poussé à faire ce geste en réaction normale provenant de son subconscient nostalgique d'une Algérie française, oubliant les caméras de la chaîne de télévision. Il est regrettable que le niveau politicien français en arrive à ce stade. Les Français ont de la chance d'avoir laissé Sarkozy dernière eux, entre un président qui insulte un citoyen et un ministre qui fait le bras d'honneur, eh bien, c'est pas gagné ! ».
Les citoyens, scandalisés par le geste du sénateur UMP, se déclarent d'autant plus outrés que cela est intervenu en pleine commémoration de la date du déclenchement de la guerre de Libération nationale. « C'est une insulte envers nos martyrs, une insulte envers le gouvernement algérien et son peuple, et aussi envers le 1er Novembre et tout ce qu'il symbolise. C'est scandaleux et pathétique comme réaction pour un peuple qui se prétend civilisé et raffiné ! Surtout quand il affirme qu'il lui arrive d'être réactif, et qu'il a eu ce geste de mauvaise humeur populaire et bien connu des Français », s'indigne un ancien moudjahid. Lala Guarmia, ancienne combattante, est totalement d'accord avec les propos du moudjahid, elle ajoutera : « La France n'avouera jamais ses crimes envers l'humanité, et encore moins envers le peuple algérien. Ça serait pour elle une honte mêlée au dédain, et le déshonneur, engendré par le fait de ne pas accepter la défaite face à un peuple désarmé et sans défense. Comment pourrait-elle avouer un crime, qui salirait l'image de la France civilisée, raffinée, connue pour ses poètes, créateurs de mode, grands chefs cuisiniers, etc. Ruiner sa réputation en faisant tomber ce beau masque trompeur, et dévoiler ainsi le vrai visage de la France de jadis, la France barbare, sanguinaire et criminelle ' Eh bien oui Monsieur Gérard Longuet nous demandons à refaire l'Histoire, 182 ans plus tard. Pour pouvoir aller de l'avant, il faut se réconcilier avec le passé d'abord, et ce afin de repartir sur de bonnes bases, sinon... »
Le comble est même atteint quand Gérard Longuet assume son geste qu'il qualifie de
« populaire » et exécuté « de bon c'ur ». Ne regrettant pas son geste stupide, le sénateur de l'UMP dit ne rien « renier », même s'il a avoué regretter « avoir été filmé » par les caméras de la chaîne Public Sénat.
Un Français, d'origine africaine qui dit ne pas être étonné par une pareille attitude, ne laisse de rappeler que : « Gérard Longuet commence en politique à la droite de la droite, où il s'illustre plutôt dans la ratonnade anti-rouges. Il est à ce titre condamné en 1967 à 1.000 francs d'amende pour complicité de violence et voies de faits avec armes et préméditation. La petite blague d'étudiants aura quand même laissé une personne dans le coma, Gérard Longuet fait donc partie des repris de justice du Gouvernement de Nicolas Sarkozy, un point de détail à méditer pour toutes les personnes qui se retrouvent dans l'impossibilité aujourd'hui de se présenter à un concours administratif pour des faits mineurs inscrits dans leurs casiers. Si votre casier n'est pas vierge, ne visez pas un poste d'enseignant ou de gardien de la paix, recherchez plutôt un poste de ministre ».
Ainsi soit-il...
Incroyable mais, hélas, vrai ! C'est avec un bras d'honneur que l'ancien ministre de la défense sous Nicolas Sarkozy, actuellement sénateur UMP, Gérard Longuet, a réagi mercredi 31, en direct, sur les ondes de la chaîne parlementaire LCI à la demande exprimée par notre ministre des Moudjahidine, Mohamed Cherif Abbas, appelant à «une reconnaissance franche des crimes perpétrés à leur encontre par le colonialisme français».
Longuet, qui réagissait avec ce geste de voyou au moment du générique, pensant peut-être qu'il n'était pas filmé, n'en a pas moins pleinement assumé son acte insolent et insultant, recevant même au passage le soutien de plusieurs de ses pairs, ce qui en dit long sur la haine viscérale que continuent de vouer à l'Algérie plusieurs hauts responsables français n'ayant jamais pu «gober» totalement leur indicible nostalgie du
paradis perdu.
Bref, ce geste indigne d'un ancien ministre de la Défense française n'en a pas moins bouleversé une partie du personnel politique hexagonal. Un haut responsable algérien, joint hier par téléphone, et s'exprimant sous le sceau de l'anonymat, nous a ainsi indiqué que ce geste représente la preuve absolue que «la France a été contrainte de partir de l'Algérie, et qu'elle ne voulait jamais quitter ce grand paradis stratégique et économique ».
Selon un directeur de rédaction dans un quotidien national, « avant de participer à une émission on doit être préparé, surtout pour quelqu'un qui occupait un poste aussi important que celui de Gérard Longhet, Il devait savoir que lors du générique les invités sont filmés, à moins que sa colère et sa haine ne l'aient poussé à faire ce geste en réaction normale provenant de son subconscient nostalgique d'une Algérie française, oubliant les caméras de la chaîne de télévision. Il est regrettable que le niveau politicien français en arrive à ce stade. Les Français ont de la chance d'avoir laissé Sarkozy dernière eux, entre un président qui insulte un citoyen et un ministre qui fait le bras d'honneur, eh bien, c'est pas gagné ! ».
Les citoyens, scandalisés par le geste du sénateur UMP, se déclarent d'autant plus outrés que cela est intervenu en pleine commémoration de la date du déclenchement de la guerre de Libération nationale. « C'est une insulte envers nos martyrs, une insulte envers le gouvernement algérien et son peuple, et aussi envers le 1er Novembre et tout ce qu'il symbolise. C'est scandaleux et pathétique comme réaction pour un peuple qui se prétend civilisé et raffiné ! Surtout quand il affirme qu'il lui arrive d'être réactif, et qu'il a eu ce geste de mauvaise humeur populaire et bien connu des Français », s'indigne un ancien moudjahid. Lala Guarmia, ancienne combattante, est totalement d'accord avec les propos du moudjahid, elle ajoutera : « La France n'avouera jamais ses crimes envers l'humanité, et encore moins envers le peuple algérien. Ça serait pour elle une honte mêlée au dédain, et le déshonneur, engendré par le fait de ne pas accepter la défaite face à un peuple désarmé et sans défense. Comment pourrait-elle avouer un crime, qui salirait l'image de la France civilisée, raffinée, connue pour ses poètes, créateurs de mode, grands chefs cuisiniers, etc. Ruiner sa réputation en faisant tomber ce beau masque trompeur, et dévoiler ainsi le vrai visage de la France de jadis, la France barbare, sanguinaire et criminelle ' Eh bien oui Monsieur Gérard Longuet nous demandons à refaire l'Histoire, 182 ans plus tard. Pour pouvoir aller de l'avant, il faut se réconcilier avec le passé d'abord, et ce afin de repartir sur de bonnes bases, sinon... »
Le comble est même atteint quand Gérard Longuet assume son geste qu'il qualifie de
« populaire » et exécuté « de bon c'ur ». Ne regrettant pas son geste stupide, le sénateur de l'UMP dit ne rien « renier », même s'il a avoué regretter « avoir été filmé » par les caméras de la chaîne Public Sénat.
Un Français, d'origine africaine qui dit ne pas être étonné par une pareille attitude, ne laisse de rappeler que : « Gérard Longuet commence en politique à la droite de la droite, où il s'illustre plutôt dans la ratonnade anti-rouges. Il est à ce titre condamné en 1967 à 1.000 francs d'amende pour complicité de violence et voies de faits avec armes et préméditation. La petite blague d'étudiants aura quand même laissé une personne dans le coma, Gérard Longuet fait donc partie des repris de justice du Gouvernement de Nicolas Sarkozy, un point de détail à méditer pour toutes les personnes qui se retrouvent dans l'impossibilité aujourd'hui de se présenter à un concours administratif pour des faits mineurs inscrits dans leurs casiers. Si votre casier n'est pas vierge, ne visez pas un poste d'enseignant ou de gardien de la paix, recherchez plutôt un poste de ministre ».
Ainsi soit-il...