Par Maâmar Farah
Laissons de cèté l'appui sans réserve de Belayat à une candidature de Bouteflika et saluons son opposition franche aux forces de l'argent et à la médiocrité qui ternissent l'image du vieux parti. Voici ce qu'il a dit : «Si nous, nous céderons face à l'intronisation de Amar Saïdani, c'est cela qui va fragiliser le parti. Nous sommes contre cette tendance à la compromission qui consiste à fermer les yeux sur tel qui était candidat sur les listes d'un autre parti, sur untel parce qu'il a de l'argent et qu'il achète tout le monde. Nous ne voulons pas que le parti de Ben Boulaïd, de Ben M'hidi et tous les moudjahidine perde ses référents et son identité.» Et Belayat d'assener : «Nous voulons au moins que l'Histoire retienne que nous, nous n'avons pas cédé.»
Oui, Si Abderrahmane, l'Histoire le dira plus tard — comme elle dit aujourd'hui que les seuls députés qui se sont opposés au tripatouillage de la Constitution furent les 11 gars du RCD — et tout le mal que nous vous souhaitons est que vos idées puissent s'élargir au sein de ce Comité central tétanisé où les moutons de Panurge semblent oublier que le FLN fut un jour le parti du combat révolutionnaire pour la justice sociale et le progrès et non un conglomérat de nouveaux riches obéissant aveuglément à la voix de leur maître !
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Posté Le : 01/10/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Soir d'Algérie
Source : www.lesoirdalgerie.com