Algérie

LE BONJOUR DU «SOIR»



Par Maamar Farah
La simple lecture de la presse nationale montre que nous sommes au bord de l'asphyxie, que tout est foutu et qu'il n'y a plus qu'à se pendre à la branche d'un olivier pour échapper à l'hécatombe.
Nos journaux nous annoncent tous les jours que la fin du monde est pour le lendemain. Outre cette crise économique qui va devenir plus aiguë, il y a l'année blanche à l'université, l'agitation chez les lycéens, le terrorisme, la corruption, les détournements, la justice dépendante, la cherté des prix, les visas livrés au compte-gouttes, l'état des routes, la facture de l'électricité et du téléphone, le niveau de l'école, les tracas de l'administration, la crise des transports, la pollution, les ascenseurs en panne… Ouf ! Heureusement qu'il y a Jeune Afrique pour nous rassurer sur notre pays !
maamarfarah20@yahoo.fr
«Chez un homme politique, les études c'est quatre ans de droit, puis toute une vie de travers.»




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