Algérie - A la une

Le Bonjour du «Soir» Sèche tes larmes, Narjès...


Le Bonjour du «Soir» Sèche tes larmes, Narjès...
Suite à la publication d'un poème dédié à Laâdi Flici, j'ai reçu un petit message de sa fille, Narjès. Voici la réponse que je lui ai envoyée : «Ma petite Narjès, bonjour.
Quand les “habilleurs de la nuit” s'en iront, il est certain que des places publiques, des rues et des aérodromes porteront les noms de nos glorieux martyrs dont ton défunt père, héros de notre grande révolution des années 1990, le médecin du peuple, l'enfant de La Casbah qui n'a pas voulu quitter les ruelles de son enfance malgré tous les avertissements.
Non, Narjès, nous ne sommes pas seulement quelques-uns à reconnaître les mérites de ton père ! Ouvre ta fenêtre et écoute le vent ; n'y reconnais-tu pas la voix des Amazighs qui monte de partout ? Les patriotes reviennent cette semaine ; les comités de chômeurs, les grévistes tous secteurs confondus, les jeunes, les femmes ne veulent plus se taire : écoute cette Algérie qui lutte et qui espère, écoute le chant des hommes libres au Sud de notre cher pays... Il te dit que la délivrance est pour bientôt... il te dit que les corrompus, les voleurs, les larbins de Cheikh Toz, bradeurs de Naftal, seront bientôt chassés, eux et leur sinistre projet d'enterrer une seconde fois ton père et tous les autres patriotes qui ont sauvé la République...
Nous élèverons alors une statue à Laâdi Flici au milieu de La Casbah éternelle...
Sèche tes larmes, Narjès, ce jour approche...
Tonton Maâmar»
«Moi aussi, je lutte sur plusieurs fronts et seule la monogamie imposée me sauvera des tirs croisés des airbags et des doubles airbags...»
(Tata Aldjia)
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