Le Bonjour du «Soir» Al-Ajami : Tant qu'il y aura des Hommes... à Doha !

Par Maâmar Farah
Ce grand champion de la «liberté» qui finance les «révolutions» réactionnaires et prène la démocratie... islamiste, cet Etat féodal, sans opposition, sans parlement, sans syndicat, sans presse libre, ne peut agir sans la duplicité des grandes puissances dont, particulièrement, la France. Affaire de gros sous, cette amitié «particulière» a connu ses heures de gloire sous Sarkozy. Et elle n'est nullement remise en cause par Hollande qui souffle le chaud et le froid. Mais laissons tranquilles les grands chefs et interrogeons-nous sur le silence coupable de la classe politique et des intellectuels de ce pays, à peine troublé par quelques voix perdues dans l'océan sans fin de l'hypocrisie... Le poète Al-Ajami croupit dans une sinistre geèle de Doha et personne, à Paris, n'a osé défiler devant l'ambassade du Qatar ou organiser une quelconque manifestation en sa faveur ' Il est paradoxal que l'Etat qui aide le plus le terrorisme islamiste et qui est en partie responsable de l'enlèvement de citoyens français au Sahel soit à©pargné à ce point par les critiques et les levées de boucliers qui, d'habitude, crachent le feu sur tant d'autres pouvoirs. France, aurais-tu peur de cette minuscule poussière de morve, de haine et de lâcheté que le souffle des vraies et viriles révolutions populaires chassera bientèt à jamais '
maamarfarah20@yahoo.fr
«Je suis entre... l'Arabie saoudite et le Qatar ! D'un cèté, Sihem Lavabo, de l'autre, Fatiha Air Bag... Et sais-tu ce que m'a répondu Lekhmissi ' "Il y a quatre pages pour les à©pouses dans nos livrets de famille" ! Pense-t-il à rajouter cette vieille pimbêche de Djamila Twaych '»