Algérie

Le bilan devra aussi être celui de la communication


Il s'est exprimé durant une heure et demie, samedi dernier dans l'émission «Dawri Al Mouhtarifine» de la chaine publique.L'ordre des questions donnait l'impression d'être bien travaillé de façon a ce que les réponses ne «bégaient» pas. L'état des lieux du terrain du Football national a été survolé a l'exception des questions brûlantes qui étaient attendues par les animateurs de ce monde sportif et des fans. Les réponses du Président de la FAF ont-elles convaincues ' Difficile de répondre a cette question, tant que la FAF, est toujours, selon son boss dans l'apprentissage. Les professionnels rencontrés au lendemain de son intervention regrettent que les sujets chauds ne soient pas abordés et préférant mettre en vitrine le peu d'aspect positifs réalisé, depuis qu'il est aux commandes de cette instance. Nous disait ces quelques professionnels, et que nous avons réussi à faire parler, alors que d'autres disaient qu'il avait en face un journaliste trop sympa pour une situation qui enflamme les clubs du moins la plupart.
«Très fin gestionnaire, il sait esquiver les questions qui fâchent sur lesquelles il était attendu. Un confrère, nous confiera : sincèrement comment y croire, lorsque ses deux années ont été entachées d'irrégularités, du non respect de ses promesses, celles d'instaurer un climat de confiance entre l'instance et les clubs et igues de football. Beaucoup de ses précédentes déclarations n'ont pas étaient suivie d'effets, difficile de le croire aujourd'hui, notre football, s'identifie à quelques réalisations qui ne font pas trop de bruits».
Dans ce contexte le président de la FAF dira : «Ce que nous avons hérité est un héritage très lourd pour ce qui est du pourrissement qui était présent dans le football, lors des 20 dernières années», avant d'enchaîner : «Nous n'avons pas trouvé une bonne situation à notre arrivée et c'est pour cela que notre travail demande du temps» et d'ajouter que football national s'est organisé, des dispositions ont été prises et se reflètent sur le terrain, quant a ceux qui critiquent le travail des commissions, la réponse est toute trouvée : «On n'est pas venus pour plaire, nous sommes venus au football pour essayer avec l'aide de tous l'environnement de trouver une façon pour sortir de la situation catastrophique où était le football».
Non seulement mais aussi pour calmer le jeu et améliorer la communication, il dira : «Nous avions deux choix, soit le premier était de travailler sur la façade et ainsi s'occuper de l'équipe nationale qui est la vitrine ou bien de suivre un autre chemin, celui d'aller au bout des choses et de voir réellement les problèmes du football algérien». Voilà une réaction qui suscitera d'énormes commentaires. Face à la série de questions, le président de la FAF rappellera tranquillement qu'(ils) ne sont pas venus pour plaire, mais faire la différence en associant tous les professionnels au développent de football Il reconnaîtra que sa mission n'était pas de tout repos puisque selon lui : «La première année était ponctuée de perturbations et de grandes pressions. Quand une nouvelle équipe arrive au Bureau fédéral, il y a des objections et pressions quand trouve sur le terrain.
Depuis une année les choses commencent à s?améliorer. «Au début nous avons choisi de travailler sur trois axes, le premier était de ramener de la stabilité, deuxièmement la capitalisation du travail la continuité». Ce qui est a retenir de ce véritable monologue et qu'il a évité de garder la parole lorsqu'il s'agissait de parler de la DTN, bien qu'il fut aidé par le journaliste, tout comme sur le «limogeage qui ne dit pas son nom, de l'entraineur des jeunes catégories, en l'occurrence Hocine Achiou, qui avait tout déballé sur les causes de son départ - programmé et ce sur la chaine El Heddaf, ce qui avait d'ailleurs suscité l'indignation de plusieurs professionnels et médias. Dans bilans présenté à la télé, il effleura le dossier de l'OM - JSK, une manière de sauver la tête du duo ou du «couple Amalou-Ghouti», il n'a pas souhaite que des réactions viennent arroser ses structures «sauf que l'état des lieux poussent les dirigeants à l'alerter afin que des dispositions soient prises pour que le football se réveil à son tour et présente une fiche sans bavure» se contentera de dire Abderrahmane de l'Université d'Alger.
Nadjia professeur de d'anglais interviendra dans cette discussion pour nous dire». «Je suis prof, j'adore le football, et je suis une fane du MCA, mais ce qui s'est passé à Médéa décrit, non plutôt confirme que des arbitres sont protégés par des hommes pas innocents, alors pas du tout. Comment expliquer que même L'ex-arbitre international Djamel Haïmoudi a démontré noir sur blanc que le penalty n'était pas valable le résultat du match est faussé, ce qui est le cas pour OM-JSK». Zetchi a ouvertement protégé sa commission fédérale d'arbitrage, «l'arbitre Bekouassa Lyès a bien dirigé la rencontre et que par conséquent, il n'y a pas lieu de le sanctionner. Ce qui est surprenant dans ce dossier c'est que la sous- commission qui a les prérogatives de traiter ce cas d'espèce est gelée depuis plusieurs mois, on se demande qui a jugé que l'arbitre avait raison. Les mauvaises langues diront que certains arbitres sont bien protégés alors que d'autres sont livrés à eux-mêmes», s'est interrogé notre confrère Compétition. Le temps presse pour tous, notamment pour Zetchi, dont son final ne doit pas entacher sa réputation au regard de son expérience et de ce qu'il a su réaliser au niveau de son club le PAC. Alors, remettre les pendules à zéro est encore possible.
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