Le baron de kif en cavale a bénéficié des avantages de l'Ansej

Finalement, le baron dont on a parlé dans l'une de nos précédentes éditions qui fait l'objet de 3 mandats d'arrêt pour trafic de drogue et qui a réussi à se faire délivrer un passeport biométrique par l'administration au nom d'une personne décédée, a pu grâce à une complicité, à embarquer aisément pour Malte.Ce stratagème a déja été utilisé par son frére recherché lui aussi pour trafic de stupéfiants, qui lui a permis de réussir à fuir vers la France. Selon nos investigations, le fugitif s'est avéré être un puissant narcotrafiquant qui est à la tête d'un réseau de trafiquants de stupéfiants qui est continuellement armé d'une Kalachnikov et d'un PA, selon des personnes qui le connaissent. Celui-ci, malgré sa recherche par la justice, se déplaçait librement, et sans crainte entre la région d'Oujda (Maroc) et le village de Lalla Aicha et Bab El Assa pour organiser son trafic qu'il menait d'une main de fer. Selon nos sources, le baron en question a une nébuleuse et douteuse relation avec les juifs qui se trouvent à l'Est du Maroc et qui ne sont pas en dehors de l'envahissement de notre pays des quantités énormes de kif et de psychotropes. De son vrai nom K. Rachid ,âgé de 34 ans, (H. Mohammed sur le passeport), le baron n'hésite pas à utiliser la manière forte à la manière de la mafia Italienne pour que le réseau soit infaillible. Ainsi, un de ses transporteurs de kif vers l'intérieur du pays qui a voulu décrocher a été séquestré et placé durant trois jours dans un puits avant l'enlèvement de sa s?ur. Cela, l'a incité de revenir à l'activité avant qu'il ne soit arrêté par les services de sécurité en flagrant délit de transport de kif. En collaboration avec des Marocains et probablement des juifs, celui-ci introduit du kif du Maroc pour l'acheminer vers l'intérieur du pays via le couloir de Bab El Assa-Djebala. Nos sources révèlent par ailleurs que le baron qui circulait avec deux cartes d'identité nationale, une établie à Bab El Assa et l'autre à Marsat Ben M'hidi possède 4 villas à Oran, dont une à Ain El Turck pour laquelle il lui a été proposé 14 milliards pour sa vente mais il a refusé. Comble de l'ironie, le baron milliardaire a bénéficié de l'aide de l'état dans le cadre de l'Ansej.