Chaque 1er mai, les syndicats sortent leurs slogans et défilent dans les rues. Chacun y va de sa revendication, une tradition un peu poussive quand on sait que, le nombre des demandeurs d’emploi sans activité atteint le record de 1,2 million au chômage, soit un taux de 10.6, touchant en particulier le jeune ‘’objet social mal identifié ‘’, des mauvais chiffres prévisibles, les revendications tombent souvent à plat tant la situation est difficile : Or peut-on parler d’un salaire minimal ou "salaire minimum" vise à garantir un niveau de revenu en Algérie, lorsqu’ont ne peut même pas stabiliser le prix de la pomme de terre ou assurer la scolarité de nos enfants(deux années blanche consécutive) ‘’La scolarité est un droit le plus élémentaire pour un enfant ‘’ certes le Smig or le Smic ! Quatre lettres familières, souvent d’actualité, mais qui gardent malgré tout leur part de mystère.
D’après Le blog de algerie-infos et l’article Publié par Saoudi Abdelaziz
En Algérie, le 1er mai c'est encore la fête du pouvoir
Ils sont tous là, squattant la Maison du Peuple (photo APS).
Le 1er mai, c'est d'abord la fête du pouvoir bienveillant, qui veille sur le bien-être des salariés: c'est ainsi que les choses se passent encore dans notre pays. Encore une fois, Sidi Said, le chef de la centrale syndicale UGTA, n'a pas oublié de se féliciter de "l'intérêt accordé par le président Bouteflika au monde du travail".
"La vérité est un miroir tombé de la main de Dieu et qui s'est brisé. Chacun en ramasse un fragment et dit que toute la vérité s'y trouve" DjalÄl ad-DÄ«n RÅ«mÄ« (1207-1273)
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Posté Le : 01/05/2015
Posté par : imekhlef
Ecrit par : rachid imekhlef
Source : net