Ce sont des peintures sur toile à l’huile ou à l’acrylique, aux couleurs chaudes : des ocres et rouges intenses, des formes fluides, harmonieuses, par lesquelles l’artiste se lance «dans une quête d’absolu». Elle s’inspire, nous dit-elle, «de cet enchevêtrement des bâtis de la vieille ville, qui (l’a) marquée».
Elle aime « le cosmos, donner un sens à l’incohérence, et chaque tableau est une passionnante aventure intérieure qui se matérialise sur un espace vierge (la toile)». Au terme du colloque, ces œuvres seront dirigées vers le hall de la maison de la culture Mohamed-El Aïd Al Khalifa, pour y être exposées durant une semaine supplémentaire, nous fera savoir le directeur de la culture, Djamel Foughali.
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Posté Le : 16/06/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : Farida Hamadou
Source : www.elwatan.com