Algérie

Lacroatie en vedette avec Masa Dance Company !



Lacroatie en vedette avec Masa Dance Company !
C'était dans une salle pleine comme un oeuf, que s'est déroulée la cérémonie de clôture du 6e Festival culturel international de danse contemporaine, qui s'est tenu du 15 au 22 du mois en cours au théâtre national Mahiedine-Bachtarzi.C'était dans une salle pleine comme un oeuf, que s'est déroulée la cérémonie de clôture du 6e Festival culturel international de danse contemporaine, qui s'est tenu du 15 au 22 du mois en cours au théâtre national Mahiedine-Bachtarzi.Durant une semaine, des troupes de danse, venues de pays différents, avaient charmé l'assistance avec des pièces dansées avec le souhait d'arracher une place au podium. L'heure a sonné d'ailleurs pour départager ces derniers. Le jury en a décidé ainsi pour cette édition 2014.Le premier prix est revenu à la troupe Masa Dance Company, de Croatie, alors que la troupe StopGap dance company, de la Grande-Bretagne, arrache le deuxième prix et, enfin, le troisième prix revient de droit à la troupe ivoirienne George Momboye Compagny. Quant au prix spécial du jury, il a été décerné à l'unanimité à la troupe de danse de la wilaya d'Aïn- Defla, en signe d'encouragement pour les efforts qu'elle fournit.Plusieurs troupes étaient au programme de cette cérémonie de clôture pour une leçon d'intégration ! Celle de réunir sur scène des danseurs valides et d'autres handicapés avec un spectacle intitulé Voyage.Une chorégraphie visant une meilleure ntégration, voire une interdépendance au sein du groupe constitue, au-delà de la beauté poétique transmise par les tableaux chorégraphiques, une belle leçon de tolérance et de partage. Aussi, le jury a constaté que les danseurs algériens gagnent de plus en plus d'expérience mais il leur reste beaucoup à travailler. Pour la commissaire Kaddouri, comme tous nos responsables, est satisfaite de cet événement sans se soucier des états des lieux de la danse dans notre pays. A titre d'exemple, la formation qui est quasi absente.Il n'existe même pas une école de cette discipline. Alors, il est temps de penser à la formation !!!! Prévue du 15 au 22 novembre au Théâtre national Mahieddine- Bachetarzi d'Alger, cette sixième édition a proposé un programme riche et varié avec un répertoire éclectique et de qualité qui suppose une participation active du spectateur. D'année en année, le Festival culturel international de la danse contemporaine (FCIDC) gagne en maturité et prend de l'ampleur. Cette année, ce sont plus de 25 pays qui se sont inscrits à cette manifestation.Outre l'Algérie, le Festival a accueilli des danseurs ou troupes chorégraphiques venus de Palestine (pays à l'honneur), du Liban, du Maroc, d'Egypte, du Qatar, de Turquie, du Burkina Faso, du Kenya, de la Côted'Ivoire, d'Italie, de Belgique (Wallonie-Bruxelles), de France, d'Espagne, de Grande-Bretagne, de Grèce, de Tchéquie, de Russie, de Croatie, d'Ukraine, du Mexique, des Etats-Unis, de Chine, du Japon et de l'Inde. Pour cette édition, placée sous le thème du "Partage", plus de 150 danseurs venus de tous les horizons se retrouveront, le temps d'un festival, pour échanger, partager et communier au nom de la danse, ce langage universel des corps qui ne connaît ni barrières ni frontières.En marge de la compétition, le Festival, dans sa vocation pédagogique, a proposé comme chaque année des masters- class au profit des jeunes danseurs algériens animés par des professionnels de renom qui, pendant dix jours, ont partagé leurs expériences, leur savoirfaire avec plus d'une soixantaine de danseurs algériens.Durant une semaine, des troupes de danse, venues de pays différents, avaient charmé l'assistance avec des pièces dansées avec le souhait d'arracher une place au podium. L'heure a sonné d'ailleurs pour départager ces derniers. Le jury en a décidé ainsi pour cette édition 2014.Le premier prix est revenu à la troupe Masa Dance Company, de Croatie, alors que la troupe StopGap dance company, de la Grande-Bretagne, arrache le deuxième prix et, enfin, le troisième prix revient de droit à la troupe ivoirienne George Momboye Compagny. Quant au prix spécial du jury, il a été décerné à l'unanimité à la troupe de danse de la wilaya d'Aïn- Defla, en signe d'encouragement pour les efforts qu'elle fournit.Plusieurs troupes étaient au programme de cette cérémonie de clôture pour une leçon d'intégration ! Celle de réunir sur scène des danseurs valides et d'autres handicapés avec un spectacle intitulé Voyage.Une chorégraphie visant une meilleure ntégration, voire une interdépendance au sein du groupe constitue, au-delà de la beauté poétique transmise par les tableaux chorégraphiques, une belle leçon de tolérance et de partage. Aussi, le jury a constaté que les danseurs algériens gagnent de plus en plus d'expérience mais il leur reste beaucoup à travailler. Pour la commissaire Kaddouri, comme tous nos responsables, est satisfaite de cet événement sans se soucier des états des lieux de la danse dans notre pays. A titre d'exemple, la formation qui est quasi absente.Il n'existe même pas une école de cette discipline. Alors, il est temps de penser à la formation !!!! Prévue du 15 au 22 novembre au Théâtre national Mahieddine- Bachetarzi d'Alger, cette sixième édition a proposé un programme riche et varié avec un répertoire éclectique et de qualité qui suppose une participation active du spectateur. D'année en année, le Festival culturel international de la danse contemporaine (FCIDC) gagne en maturité et prend de l'ampleur. Cette année, ce sont plus de 25 pays qui se sont inscrits à cette manifestation.Outre l'Algérie, le Festival a accueilli des danseurs ou troupes chorégraphiques venus de Palestine (pays à l'honneur), du Liban, du Maroc, d'Egypte, du Qatar, de Turquie, du Burkina Faso, du Kenya, de la Côted'Ivoire, d'Italie, de Belgique (Wallonie-Bruxelles), de France, d'Espagne, de Grande-Bretagne, de Grèce, de Tchéquie, de Russie, de Croatie, d'Ukraine, du Mexique, des Etats-Unis, de Chine, du Japon et de l'Inde. Pour cette édition, placée sous le thème du "Partage", plus de 150 danseurs venus de tous les horizons se retrouveront, le temps d'un festival, pour échanger, partager et communier au nom de la danse, ce langage universel des corps qui ne connaît ni barrières ni frontières.En marge de la compétition, le Festival, dans sa vocation pédagogique, a proposé comme chaque année des masters- class au profit des jeunes danseurs algériens animés par des professionnels de renom qui, pendant dix jours, ont partagé leurs expériences, leur savoirfaire avec plus d'une soixantaine de danseurs algériens.




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