La zalabia, inévitable sur la table AMBIANCE DE RAMADhAN

A l'instar de toutes les autres régions du pays, la wilaya de Tizi-Ouzou n'échappe pas à la règle. Durant le mois de Ramadahn, rares ont ceux qui peuvent se passer des pâtisseries orientales comme la zalabia et Kelb el-louz.A l'instar de toutes les autres régions du pays, la wilaya de Tizi-Ouzou n'échappe pas à la règle. Durant le mois de Ramadahn, rares ont ceux qui peuvent se passer des pâtisseries orientales comme la zalabia et Kelb el-louz.
Mais il faut reconnaitre que c'est plutôt la zalabia qui détient toutefois la palme en ce mois de Ramadan. Les jeuneurs semblent ne pas pouvoir s'installer devant leur table le soir sans qu'il y ait la « dose » indispensable de la zalabia devant eux. Pour cette année, également, la zalabia est affichée à 200 DA le kilogramme. Un prix que d'aucuns trouvent relativement cher. Mais ceci ne dissuade pas la majorité des citoyens à s'en approvisionner.
A Tizi-Ouzou, ils ne sont pas nombreux à se spécialiser dans la fabrication et la vente de la zalabia. C'est pourquoi, chaque soir à partir de 16 h, de longues queues se forment devant les magasins de vente de cette pâtisserie orientale succulente mais à consommer avec modération. L'un des vendeurs de zalabia qui enregistre le plus d'affluence est le célèbre Tounsi, situé au niveau du boulevard Moh-Said-Ouzeffoun, non loin du siège de l'ancienne mairie et de l'actuelle musée de Tizi-Ouzou.
Le magasin, appelé communément « le Tounsi », car tenu par un Tunisien, est d'ailleurs l'unique qui produit et vend la zalabia tout au long de l'année et non seulement durant le mois sacré. Il s'agit également de l'unique à proposer plusieurs variétés de zalabia en même temps. Il doit son succès à son savoir-faire, à son ancienneté et aussi à sa réputation.
Même s'il propose d'autres variétés de gâteaux, il n'en demeure pas moins que son activité principale reste celle de la zalabia. Chaque soir et après le ftour, ce magasin ne désemplit pas. D'ailleurs, la chaîne se forme ici carrément sur le trottoir. Un peu plus loin, au niveau du boulevard Lamali, c'est pratiquement le même décor qui se dessine tous les soirs à partir de 16 h. Il s'agit du magasin des Tamani. Ces derniers ont hérité de cette activité de leur grand-père. Ils sont dans le domaine depuis quarante ans, nous dit le plus jeune d'entre eux, rencontré sur place. Ce dernier précise que le prix de la zalabia n'a pas varié chez eux depuis trois ans.
Actuellement, le kilogramme se vend à 200 dinars alors qu'avant, il était à 180 DA. Notre interlocuteur précise que les clients trouvent ces prix raisonnables car il ne faut pas oublier qu'un kilo de sucre coûte 95 DA sans oublier le prix de l'huile qui est aussi élevé. Par ailleurs, un autre gâteau oriental est très à la mode en ce mois de Ramadahn.
Vous l'aurez deviné. Il s'agit de kelb el-louz. En plus des grandes quantités que les citoyens achètent et emportent carrément chez eux, tous les cafés maures de la région propose cette confiserie avec le fameux « thé maison » à la menthe également indispensable, quand il s'agit du mois où les gens veillent le plus. Pour ne pas dire ne dorment pas.
Mais il faut reconnaitre que c'est plutôt la zalabia qui détient toutefois la palme en ce mois de Ramadan. Les jeuneurs semblent ne pas pouvoir s'installer devant leur table le soir sans qu'il y ait la « dose » indispensable de la zalabia devant eux. Pour cette année, également, la zalabia est affichée à 200 DA le kilogramme. Un prix que d'aucuns trouvent relativement cher. Mais ceci ne dissuade pas la majorité des citoyens à s'en approvisionner.
A Tizi-Ouzou, ils ne sont pas nombreux à se spécialiser dans la fabrication et la vente de la zalabia. C'est pourquoi, chaque soir à partir de 16 h, de longues queues se forment devant les magasins de vente de cette pâtisserie orientale succulente mais à consommer avec modération. L'un des vendeurs de zalabia qui enregistre le plus d'affluence est le célèbre Tounsi, situé au niveau du boulevard Moh-Said-Ouzeffoun, non loin du siège de l'ancienne mairie et de l'actuelle musée de Tizi-Ouzou.
Le magasin, appelé communément « le Tounsi », car tenu par un Tunisien, est d'ailleurs l'unique qui produit et vend la zalabia tout au long de l'année et non seulement durant le mois sacré. Il s'agit également de l'unique à proposer plusieurs variétés de zalabia en même temps. Il doit son succès à son savoir-faire, à son ancienneté et aussi à sa réputation.
Même s'il propose d'autres variétés de gâteaux, il n'en demeure pas moins que son activité principale reste celle de la zalabia. Chaque soir et après le ftour, ce magasin ne désemplit pas. D'ailleurs, la chaîne se forme ici carrément sur le trottoir. Un peu plus loin, au niveau du boulevard Lamali, c'est pratiquement le même décor qui se dessine tous les soirs à partir de 16 h. Il s'agit du magasin des Tamani. Ces derniers ont hérité de cette activité de leur grand-père. Ils sont dans le domaine depuis quarante ans, nous dit le plus jeune d'entre eux, rencontré sur place. Ce dernier précise que le prix de la zalabia n'a pas varié chez eux depuis trois ans.
Actuellement, le kilogramme se vend à 200 dinars alors qu'avant, il était à 180 DA. Notre interlocuteur précise que les clients trouvent ces prix raisonnables car il ne faut pas oublier qu'un kilo de sucre coûte 95 DA sans oublier le prix de l'huile qui est aussi élevé. Par ailleurs, un autre gâteau oriental est très à la mode en ce mois de Ramadahn.
Vous l'aurez deviné. Il s'agit de kelb el-louz. En plus des grandes quantités que les citoyens achètent et emportent carrément chez eux, tous les cafés maures de la région propose cette confiserie avec le fameux « thé maison » à la menthe également indispensable, quand il s'agit du mois où les gens veillent le plus. Pour ne pas dire ne dorment pas.