Algérie

La voix des humbles



La voix des humbles
La trilogie de Mohamed Dib, composée des trois romans « La Grande Maison », « L'incendie » et « Le Métier à tisser », a permis aux Algériens de s'exprimer sur la scène romanesque, a estimé dimanche dernier à Tizi-Ouzou, Mme Bettouche Aïni, enseignante au département de langue française de l'université de Tizi-Ouzou. Intervenant dans le cadre des journées d'étude, organisées par la direction de la culture en collaboration avec la faculté des lettres et des langues, à l'occasion du 10e anniversaire de la mort de Mohamed Dib, la conférencière a souligné que cet écrivain, à l'instar de ses contemporains, a introduit l'Algérien sur la scène romanesque, d'où il était jusque-là exclu, en lui restituant la parole qui lui avait été confisquée ». Mme Bettouche a relevé que la trilogie « dibienne » entre dans cette catégorie de livres presque doués d'une âme. « Elle nous parle mieux de nous-mêmes, de notre histoire-mémoire », a-t-elle indiqué.




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