Algérie

La voirie urbaine dans un état chaotique



La voirie urbaine dans un état chaotique
L'état de la voirie urbaine reste dans un état catastrophique. Des dizaines de milliards de dinars sont engloutis chaque année sans résultats.L'état de la voirie urbaine reste dans un état catastrophique. Des dizaines de milliards de dinars sont engloutis chaque année sans résultats.Les trottoirs sont défoncés, l'éclairage public est mal distribué dans certaines cités et les lotissements nouveaux font les frais d'inondations lors des chutes de pluie. Partout en Algérie, le spectacle est désolant.Les grandes agglomérations souffrent d'une image peu reluisante, étant donné la situation chaotique de son environnement urbain. A juste titre quand il s'agit de la capitale qui se voit continuellement refaire ses travaux de voirie avec des rafistolages et des malfaçons visibles à l'oeil nu.Combien d'argent a été dépensé pour ces plans qui sont bricolés à l'emporte-pièce ' Côté chiffres, les responsables des collectivités font l'économie du débat en cultivant la fuite en avant sur les bilans dont ils doivent présenter obligatoirement les grandes lignes. A titre illustratif, les communes d'Alger et sa périphérie nécessitent la mise à niveau de 270 quartiers et îlots urbains nouveaux. Le wali d'Alger, dans ses tournées d'inspection, a mis en garde dernièrement les élus locaux et autres responsables des collectivités municipales sur la façon de traiter dorénavant l'aménagement urbain.Le constat résulte du fait que la plupart des voies urbaines, trottoirs et ruelles sont dans un état de délabrement poussé. Et c'est la même chose à Constantine et à Oran ainsi que d'autres villes qui ont vu pousser de nouveaux pôles urbains sans commodités. Les chaussées sont surélevées par rapport à la norme et l'éclairage fait défaut dans ces nouvelles cités.Les walis ont été instruits dernièrement de refaire tous les plans d'aménagement en consacrant de nouveaux équipements pour l'assainissement urbain. Une opération qui va demander encore du temps et de l'argent. A Alger, la première initiative a commencé au cours de ces deux derniers mois et concernera toutes les communes dont les routes sont à bitumer, révision des AEP et création de nouveaux trottoirs.Le programme consisterait à accorder plus de terrains pour mettre à l'épreuve de nouvelles méthodes d'élargissement des chaussées et privilégier les matériaux solides et non du béton armé qui a aggravé les fosses et causé des fuites d'eau.Dans ce cadre, des opérations de gré à gré dont ont bénéficié certaines entreprises privées ne seront plus reconduites. Ces entreprises, qui ont effectué des travaux de terrassement dans certaines des grandes artères des grandes villes, n'ont pas respecté le cahier de charges qui exige la qualité des travaux qui doivent être réalisés.On apprend, à juste titre, que les services de l'aménagement des grandes agglomérations vont suivre les chantiers de réalisation avec des inspections périodiques. Les maîtres d'ouvrages, qu'ils soient publics ou privés, devront remettre des rapports sur l'état de réalisation, le type de matériaux utilisés et la durée d'exécution des travaux de chantier.Les trottoirs sont défoncés, l'éclairage public est mal distribué dans certaines cités et les lotissements nouveaux font les frais d'inondations lors des chutes de pluie. Partout en Algérie, le spectacle est désolant.Les grandes agglomérations souffrent d'une image peu reluisante, étant donné la situation chaotique de son environnement urbain. A juste titre quand il s'agit de la capitale qui se voit continuellement refaire ses travaux de voirie avec des rafistolages et des malfaçons visibles à l'oeil nu.Combien d'argent a été dépensé pour ces plans qui sont bricolés à l'emporte-pièce ' Côté chiffres, les responsables des collectivités font l'économie du débat en cultivant la fuite en avant sur les bilans dont ils doivent présenter obligatoirement les grandes lignes. A titre illustratif, les communes d'Alger et sa périphérie nécessitent la mise à niveau de 270 quartiers et îlots urbains nouveaux. Le wali d'Alger, dans ses tournées d'inspection, a mis en garde dernièrement les élus locaux et autres responsables des collectivités municipales sur la façon de traiter dorénavant l'aménagement urbain.Le constat résulte du fait que la plupart des voies urbaines, trottoirs et ruelles sont dans un état de délabrement poussé. Et c'est la même chose à Constantine et à Oran ainsi que d'autres villes qui ont vu pousser de nouveaux pôles urbains sans commodités. Les chaussées sont surélevées par rapport à la norme et l'éclairage fait défaut dans ces nouvelles cités.Les walis ont été instruits dernièrement de refaire tous les plans d'aménagement en consacrant de nouveaux équipements pour l'assainissement urbain. Une opération qui va demander encore du temps et de l'argent. A Alger, la première initiative a commencé au cours de ces deux derniers mois et concernera toutes les communes dont les routes sont à bitumer, révision des AEP et création de nouveaux trottoirs.Le programme consisterait à accorder plus de terrains pour mettre à l'épreuve de nouvelles méthodes d'élargissement des chaussées et privilégier les matériaux solides et non du béton armé qui a aggravé les fosses et causé des fuites d'eau.Dans ce cadre, des opérations de gré à gré dont ont bénéficié certaines entreprises privées ne seront plus reconduites. Ces entreprises, qui ont effectué des travaux de terrassement dans certaines des grandes artères des grandes villes, n'ont pas respecté le cahier de charges qui exige la qualité des travaux qui doivent être réalisés.On apprend, à juste titre, que les services de l'aménagement des grandes agglomérations vont suivre les chantiers de réalisation avec des inspections périodiques. Les maîtres d'ouvrages, qu'ils soient publics ou privés, devront remettre des rapports sur l'état de réalisation, le type de matériaux utilisés et la durée d'exécution des travaux de chantier.




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