La ville de Thénia paralysée par une grève générale des habitants Boumerdès

Thénia, une commune située à une dizaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, a été totalement paralysée, hier, par un mouvement de grève générale pour protester contre l'ouverture de la nouvelle gare routière au quartier la Casbah, à la sortie ouest de la ville. Le mot d'ordre de grève a été suivi par les habitants du centre-ville, les commerçants, les lycéens et les transporteurs de la ville, pour faire entendre leurs voix et réclamer la réouverture de l'ancienne station de bussituée à proximité du stade communal. Des dizaines d'autres habitants ontimprovisé dans la matinée un sit-in devant le siège de la daïra pour exigerdes responsables locaux une solution à ce problème. Pour certains, lanouvelle gare routière est située loin du centre ville et pénalisera, de fait, plusieurs d'entre eux notamment les plus âgés. Outre cela, ils ont soulevé le problème de sécurité d'autant que la station de bus est située en dehors de la ville.
Par ailleurs, certains citoyens de la ville sont satisfaits du transfert de laditestation de bus vers cet endroit aménagé en une gare digne de ce nomcontrairement à l'ancienne station qui ne disposait pas d'abris bus et de quais de stationnement. A cela s'ajoute les désagréments qu'elle causait notamment des embouteillages à longueur de la journée car les transporteurs stationnaient anarchiquement. Les manifestants ont soulevé, par la même occasion, les autres carences auxquelles ils font face quotidiennement et ont réclamé l'ouverture de nouvel hôpital de 120 lits, l'attribution des locaux aux commerçants dont les baraques de fortune avaient été démantelées récemment par les autorités et la levée des barricades suspendues dans certains axes routiers de la ville..
Thénia, une commune située à une dizaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, a été totalement paralysée, hier, par un mouvement de grève générale pour protester contre l'ouverture de la nouvelle gare routière au quartier la Casbah, à la sortie ouest de la ville. Le mot d'ordre de grève a été suivi par les habitants du centre-ville, les commerçants, les lycéens et les transporteurs de la ville, pour faire entendre leurs voix et réclamer la réouverture de l'ancienne station de bussituée à proximité du stade communal. Des dizaines d'autres habitants ontimprovisé dans la matinée un sit-in devant le siège de la daïra pour exigerdes responsables locaux une solution à ce problème. Pour certains, lanouvelle gare routière est située loin du centre ville et pénalisera, de fait, plusieurs d'entre eux notamment les plus âgés. Outre cela, ils ont soulevé le problème de sécurité d'autant que la station de bus est située en dehors de la ville.
Par ailleurs, certains citoyens de la ville sont satisfaits du transfert de laditestation de bus vers cet endroit aménagé en une gare digne de ce nomcontrairement à l'ancienne station qui ne disposait pas d'abris bus et de quais de stationnement. A cela s'ajoute les désagréments qu'elle causait notamment des embouteillages à longueur de la journée car les transporteurs stationnaient anarchiquement. Les manifestants ont soulevé, par la même occasion, les autres carences auxquelles ils font face quotidiennement et ont réclamé l'ouverture de nouvel hôpital de 120 lits, l'attribution des locaux aux commerçants dont les baraques de fortune avaient été démantelées récemment par les autorités et la levée des barricades suspendues dans certains axes routiers de la ville..