La ville croule sous les immondices TIZI-OUZOU

Décidément, Tizi-Ouzou ne sera jamais une ville propre. Les autorités locales, les responsables de la wilaya, la radio locale auront beau initier de grandes campagnes de volontariat pour le nettoyage de ses différents quartiers, les choses finissent toujours par un retour à la case départ. En tout cas, c'est le constat que tout un chacun peut faire en effectuant une simple tournée dans la capitale du Djurdjura. Paradoxalement, la partie la plus touchée par cette situation qui donne une image des plus hideuses est la Nouvelle-Ville. En effet, celui qui visite cette partie importante de la capitale du Djurdjura est frappée de stupéfaction et gagné de déception en constatant de véritables montagnes d'immondices qui jonchent pratiquement tous les coins et recoins de la ville des Genêts. Les odeurs pestilentielles sont aussi là pour rendre l'air irrespirable. Même si la responsabilité des citoyens n'est pas totalement exclue dans cette situation de laisser-aller, il n'en demeure pas moins qu'il serait trop simpliste de la lui faire endosser entièrement. Des services au niveau de l'APC de Tizi-Ouzou sont spécialement affectés pour que la ville soit nettoyée. Des budgets colossaux sont affectés par l'état pour le même créneau mais il se trouve que la réalité est tout autre. Les citoyens qui habitent dans les immeubles de la Nouvelle-Ville sont, bien entendu, les plus pénalisés par cet état des lieux car ceux qui s'y rendent pour juste conclure leurs affaires finissent par quitter les lieux mais les habitants, eux, on se demande en toute légitimité comment ils peuvent supporter de vivre dans un environnement pareil. Les risques d'attrapper des maladies, surtout pour les enfants est plus qu'évident. Ce qui est étonnant, c'est qu'aucun quartier n'est épargné par ces montagnes d'ordures ménagères. Au niveau du quartiers appelés communément Amyoud, les gens sont obligés d'attendre les fourgons de transport public des voyageurs en se bouchant les narines car à proximité de la station de transport, une immense quantité d'immondices est entreposée à même le trottoir. C'est le cas également au niveau de la route qui relie le lieu-dit la Tour vers la cité universitaire Hasnaoua II. A ce niveau, les immondices dépassent même le trottoirs pour occuper une partie de la chaussée, gênant ainsi les véhicules qui s'y déplacent. Mais ces deux cas sont loin d'être les seuls puisque pratiquement au niveau de chaque quartier et de chaque cité de la Nouvelle-Ville, on a droit au même décor désolant et repoussant. A la cité des 600-Logements, pourtant très propre dans le passé, les images qui s'offrent à nous sont simplement lamentables. Le malheur dans ce constat, c'est que les choses durent depuis des semaines sans qu'aucune réaction n'ait été enregistrée par aucune partie concernée. Tout le monde fait comme si de rien n'était. Une bonne partie des activités commerciales est située carrément en face de ces amas d'ordures. Tout le monde semble faire bon ménage dans une ville, qui il n'y a pas très longtemps était surnommée la petite Suisse.
Décidément, Tizi-Ouzou ne sera jamais une ville propre. Les autorités locales, les responsables de la wilaya, la radio locale auront beau initier de grandes campagnes de volontariat pour le nettoyage de ses différents quartiers, les choses finissent toujours par un retour à la case départ. En tout cas, c'est le constat que tout un chacun peut faire en effectuant une simple tournée dans la capitale du Djurdjura. Paradoxalement, la partie la plus touchée par cette situation qui donne une image des plus hideuses est la Nouvelle-Ville. En effet, celui qui visite cette partie importante de la capitale du Djurdjura est frappée de stupéfaction et gagné de déception en constatant de véritables montagnes d'immondices qui jonchent pratiquement tous les coins et recoins de la ville des Genêts. Les odeurs pestilentielles sont aussi là pour rendre l'air irrespirable. Même si la responsabilité des citoyens n'est pas totalement exclue dans cette situation de laisser-aller, il n'en demeure pas moins qu'il serait trop simpliste de la lui faire endosser entièrement. Des services au niveau de l'APC de Tizi-Ouzou sont spécialement affectés pour que la ville soit nettoyée. Des budgets colossaux sont affectés par l'état pour le même créneau mais il se trouve que la réalité est tout autre. Les citoyens qui habitent dans les immeubles de la Nouvelle-Ville sont, bien entendu, les plus pénalisés par cet état des lieux car ceux qui s'y rendent pour juste conclure leurs affaires finissent par quitter les lieux mais les habitants, eux, on se demande en toute légitimité comment ils peuvent supporter de vivre dans un environnement pareil. Les risques d'attrapper des maladies, surtout pour les enfants est plus qu'évident. Ce qui est étonnant, c'est qu'aucun quartier n'est épargné par ces montagnes d'ordures ménagères. Au niveau du quartiers appelés communément Amyoud, les gens sont obligés d'attendre les fourgons de transport public des voyageurs en se bouchant les narines car à proximité de la station de transport, une immense quantité d'immondices est entreposée à même le trottoir. C'est le cas également au niveau de la route qui relie le lieu-dit la Tour vers la cité universitaire Hasnaoua II. A ce niveau, les immondices dépassent même le trottoirs pour occuper une partie de la chaussée, gênant ainsi les véhicules qui s'y déplacent. Mais ces deux cas sont loin d'être les seuls puisque pratiquement au niveau de chaque quartier et de chaque cité de la Nouvelle-Ville, on a droit au même décor désolant et repoussant. A la cité des 600-Logements, pourtant très propre dans le passé, les images qui s'offrent à nous sont simplement lamentables. Le malheur dans ce constat, c'est que les choses durent depuis des semaines sans qu'aucune réaction n'ait été enregistrée par aucune partie concernée. Tout le monde fait comme si de rien n'était. Une bonne partie des activités commerciales est située carrément en face de ces amas d'ordures. Tout le monde semble faire bon ménage dans une ville, qui il n'y a pas très longtemps était surnommée la petite Suisse.