« La victoire ne peut pas nous échapper »Azzedine Aït-Djoudi (entraîneur de la JSK)

Les Canaris, tout comme l'ESS, qui affichent ces derniers temps une bonne santé en alignant les résultats positifs, en découdront cet après-midi au stade 1er-Novembre de Tiz Ouzou avec les Sétifiens. C'est pour la 41e fois que les deux équipes se retrouveront à Tizi Ouzou pour le compte du championnat national. Avec toutefois un avantage pour les Canaris qui en ont gagné jusque-là 28 alors que les Sétifiens n'ont réussi que deux victoires à Tizi Ouzou et partagé huit fois les points. Pour ce nouveau classique du championnat, les dés sont loin d'être pipés pour l'une comme pour l'autre des deux formations tant c'est l'indécision qui sera la maîtresse de l'arène. D'ailleurs, assez souvent, les spectateurs sont tenus en haleine tant il y a de l'intensité dans le jeu. L'intensité, elle y sera une nouvelle fois d'autant que les deux équipes ne jurent que par la victoire. Ainsi, pour Aït-Djoudi, le plus « important est que la partie se déroule dans un fair-play total et que le meilleur l'emporte ». Pour Aït-Djoudi, « ce match face à Sétif est le match de référence pour son équipe ». Lui qui avait déclaré « attendre la 8e journée pour juger mon équipe ». Pour Aït-Djoudi, qui compte aligner la même équipe que celle face à l'ASO, « la victoire ne leur échappera pas », même s'il reconnaît que « la partie est loin d'être gagnée ». Son équipe, qui vient d'effectuer une escapade à Agadir, au Maroc, est revenue, selon lui, « bien requinquée moralement et surtout a été une occasion de se mettre un match dans les jambes à la veille de ce rendez-vous ». Aussi, Aït-Djoudi espère bien que la concurrence de la télévision n'affectera en rien l'affluence des supporters. « L'équipe a besoin de ses fans qui effectueront certainement le déplacement en grand nombre pour encourager leur équipe et surtout assister à un beau spectacle comme ces deux formations savent si bien le faire ».