Langue de Mahomet, d'Abou-Bekr et d'Omar mais aussi langue de Mahmoud Darwich et d'Ahmed Chawqi. La langue arabe daterait du 2e siècle et est une intarissable langue qui regorge de richesses.
Tour à tour, ils s'exposent à la cour sous leur plus beau jour.
La Maison de la Culture de Mostaganem à ouvert ses porte mercredi dernier à la poésie, une féerie des touts petits. Une compétition ayant battu son plein en accueillant une vingtaine de participants venus de Tlemcen, Tiaret, Tissemsilet et Mostaganem. Une ambiance où régnaient gaieté et rivalité.
Les lectures des petits prodiges se sont faites sous l'oeil plus qu'attentif d'un jury composé d'enseignants et de poètes dont Farah Khaldiya, Nasser Hadjadj et Madani Bouhraoua.
La mission étant tout d'abord de partager un agréable moment culturel mais surtout d'encourager les enfants à croire en eux-mêmes et en leurs aptitudes à se surpasser en excellent dans un domaine. De plus, ce fut une occasion de découvrir de nouveaux talents qui seraient les prochains « Aboû Nouwâs » ou encore « Al-Mutanabbi » de leur temps. En outre, ce fut également un événement pour motiver ces novices à préserver et à apprendre à bien manier l'art de l'écriture, tout glorifiant la langue arabe.
Le poète, ce passionné. Il fusionne avec ce qui l'environne puis s'abandonne. Il soumet son idée inspirée de sa vérité qu'il invite à déchiffrer.
A la fin de leur lecture, les enfants ont été acclamés puis enhardis, de présents et de prix, pour leur participation et leur talent qui n'aura pas été inaperçu.
En toute splendeur, une journée ayant pris de l'ampleur. La poésie ayant accompli ses preuves, faisant de cet instant une magnifique oeuvre.
Posté Le : 09/06/2014
Posté par : litteraturealgerie
Ecrit par : D.Boudia