Algérie

La tripartite le 23 septembre à Ghardaïa



La tripartite le 23 septembre à Ghardaïa
La date de la réunion de la tripartite est désormais connue. Ce sera en effet le 23septembre prochain à Ghardaïa. Cette date a été retenue à l'issue de la réunion d'hier entre le gouvernement, l'UGTA et les organisations patronales.La date de la réunion de la tripartite est désormais connue. Ce sera en effet le 23septembre prochain à Ghardaïa. Cette date a été retenue à l'issue de la réunion d'hier entre le gouvernement, l'UGTA et les organisations patronales.L e Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, et les principaux partenaires sociaux du gouvernement ont donc convenu de délocaliser, une fois de plus, cette rencontre tripartite. Ce n'est pas la première fois que cette rencontre se tient en dehors de la capitale, Alger. Biskra, au mois d'octobre 2015, et Annaba il y a juste quelques mois, au mois de mars dernier plus exactement, ont déjà abrité cette rencontre. Pour la rencontre d'hier elle a été consacrée à l'examen de l'ordre du jour de la tripartite du 23 septembre. "Il sera procédé notamment, au cours de cet échange de concertation, à l'examen des points à l'ordre du jour à soumettre à la tripartite, ainsi que la fixation de la date et du lieu de la tenue de cette rencontre dont l'organisation est prévue prochainement" a en effet indiqué il y a quelques jours le communiqué des services du Premier ministère.Cela dit la rencontre d'hier a suscité moult appréhensions, ce d'autant qu'elle est intervenue dans un contexte particulier marqué, notamment, par la dégradation de la relation entre le gouvernement et ses principaux partenaires sociaux. En effet, suite aux mises en demeure adressées par de nombreux organismes et institutions publiques à certaines entreprises du secteur privé, notamment à l'ETRHB du chef du FCE, Ali Haddad, l'UGTA et quelques organisations patronales ont lancé des piques à l'endroit du Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune lui reprochant en des termes à peine voilés de menacer le pacte économique et social, alors que le gouvernement s'est engagé, à travers son plan d'action, à séparer l'argent de la politique.Mais après cet intermède, qui a fait leschoux gras de la presse nationale, les choses semblent rentrer dans l'ordre tant le ton est plutôt à l'apaisement. Cette rencontre en attendant la tripartite du 23 septembre consacre, indiscutablement, le lancement du processus du consensusnational. Ce dernier est bien inscrit dansle plan l'action du gouvernement commeune de ses principales priorités. Le consensusautour des objectifs à réaliser dansun contexte par trop difficile sur les plans économiques et financiers. En effet c'est cette difficulté induite pa la chute des prix des hydrocarbures qui a conduit le gouvernement a ajuster sa politique en prenant en considération cett nouvelle donne économique. D'où la politique d'austérité ou la rationalisation des dépenses entamée déjà parl'ancien Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Mais cette nouvelle démarche est forcément appelée à être plus prononcée l'avenir. En vérité c'est une grande urgence et le gouvernement est appelé à agir vite.C'est pourquoi le projet de loi des finances 2018 sera incontestablement, le révélateur de cette nouvelle politique faite d'austérité et de grandes coupes budgétaires dans certains secteurs tant les moyens financiers sont rares. Le pan d'action du gouvernement a totalement écarté la perspective de recourir à l'endettement extérieur pour faite face àcette inextricable crise financière.On craint sur ce plan la réduction dessubventions et des transferts sociaux.D'où cette quête d'un consensus avec les principaux partenaires sociaux du gouvernementautour des grands choix à faire.C'est aussi dans cette perspective que le gouvernement a lancé l'idée d'un dialogue avec tous les acteurs de la scène politique aussi.L e Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, et les principaux partenaires sociaux du gouvernement ont donc convenu de délocaliser, une fois de plus, cette rencontre tripartite. Ce n'est pas la première fois que cette rencontre se tient en dehors de la capitale, Alger. Biskra, au mois d'octobre 2015, et Annaba il y a juste quelques mois, au mois de mars dernier plus exactement, ont déjà abrité cette rencontre. Pour la rencontre d'hier elle a été consacrée à l'examen de l'ordre du jour de la tripartite du 23 septembre. "Il sera procédé notamment, au cours de cet échange de concertation, à l'examen des points à l'ordre du jour à soumettre à la tripartite, ainsi que la fixation de la date et du lieu de la tenue de cette rencontre dont l'organisation est prévue prochainement" a en effet indiqué il y a quelques jours le communiqué des services du Premier ministère.Cela dit la rencontre d'hier a suscité moult appréhensions, ce d'autant qu'elle est intervenue dans un contexte particulier marqué, notamment, par la dégradation de la relation entre le gouvernement et ses principaux partenaires sociaux. En effet, suite aux mises en demeure adressées par de nombreux organismes et institutions publiques à certaines entreprises du secteur privé, notamment à l'ETRHB du chef du FCE, Ali Haddad, l'UGTA et quelques organisations patronales ont lancé des piques à l'endroit du Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune lui reprochant en des termes à peine voilés de menacer le pacte économique et social, alors que le gouvernement s'est engagé, à travers son plan d'action, à séparer l'argent de la politique.Mais après cet intermède, qui a fait leschoux gras de la presse nationale, les choses semblent rentrer dans l'ordre tant le ton est plutôt à l'apaisement. Cette rencontre en attendant la tripartite du 23 septembre consacre, indiscutablement, le lancement du processus du consensusnational. Ce dernier est bien inscrit dansle plan l'action du gouvernement commeune de ses principales priorités. Le consensusautour des objectifs à réaliser dansun contexte par trop difficile sur les plans économiques et financiers. En effet c'est cette difficulté induite pa la chute des prix des hydrocarbures qui a conduit le gouvernement a ajuster sa politique en prenant en considération cett nouvelle donne économique. D'où la politique d'austérité ou la rationalisation des dépenses entamée déjà parl'ancien Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Mais cette nouvelle démarche est forcément appelée à être plus prononcée l'avenir. En vérité c'est une grande urgence et le gouvernement est appelé à agir vite.C'est pourquoi le projet de loi des finances 2018 sera incontestablement, le révélateur de cette nouvelle politique faite d'austérité et de grandes coupes budgétaires dans certains secteurs tant les moyens financiers sont rares. Le pan d'action du gouvernement a totalement écarté la perspective de recourir à l'endettement extérieur pour faite face àcette inextricable crise financière.On craint sur ce plan la réduction dessubventions et des transferts sociaux.D'où cette quête d'un consensus avec les principaux partenaires sociaux du gouvernementautour des grands choix à faire.C'est aussi dans cette perspective que le gouvernement a lancé l'idée d'un dialogue avec tous les acteurs de la scène politique aussi.


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