Algérie

La Thaïlande face au spectre de la guerre civile



La Thaïlande face au spectre de la guerre civile
La fuite au Nord de la Première ministre contestée renforce la menace de partition. La peur de la partition hante la Thaïlande à mesure qu'elle s'enfonce dans l'impasse politique. Jeudi, la Première ministre, Yingluck Shinawatra, a refusé de se présenter devant la Commission nationale anticorruption à Bangkok, préférant rester dans son fief du Nord.La fuite au Nord de la Première ministre contestée renforce la menace de partition. La peur de la partition hante la Thaïlande à mesure qu'elle s'enfonce dans l'impasse politique. Jeudi, la Première ministre, Yingluck Shinawatra, a refusé de se présenter devant la Commission nationale anticorruption à Bangkok, préférant rester dans son fief du Nord.Contestée par la rue de la capitale, elle a délégué ses avocats pour répondre aux questions de la puissante commission qui l'accuse de "négligences" dans la gestion d'un controversé programme de soutien aux producteurs de riz. Une procédure qui pourrait conduire à sa condamnation judiciaire, puis, à terme, à sa destitution, si le Sénat validait les accusations de la commission. Yingluck a répliqué fermement aux attaques dans un communiqué dénonçant une enquête biaisée et bouclée à la hâte en moins de 21 jours, "qui ne bénéficie qu'à ceux qui veulent renverser le gouvernement".Elle s'est dite prête à coopérer avec les enquêteurs pour se dédouaner de la responsabilité de ce programme populiste d'aide aux fermiers qui a généré gabegie et corruption. Elle a quinze jours pour présenter sa défense, alors que les fermiers réclament le paiement du riz livré à l'Etat, il y a déjà plusieurs mois.Contestée par la rue de la capitale, elle a délégué ses avocats pour répondre aux questions de la puissante commission qui l'accuse de "négligences" dans la gestion d'un controversé programme de soutien aux producteurs de riz. Une procédure qui pourrait conduire à sa condamnation judiciaire, puis, à terme, à sa destitution, si le Sénat validait les accusations de la commission. Yingluck a répliqué fermement aux attaques dans un communiqué dénonçant une enquête biaisée et bouclée à la hâte en moins de 21 jours, "qui ne bénéficie qu'à ceux qui veulent renverser le gouvernement".Elle s'est dite prête à coopérer avec les enquêteurs pour se dédouaner de la responsabilité de ce programme populiste d'aide aux fermiers qui a généré gabegie et corruption. Elle a quinze jours pour présenter sa défense, alors que les fermiers réclament le paiement du riz livré à l'Etat, il y a déjà plusieurs mois.




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