Algérie

La technologie pour l'aide à la décision



La technologie pour l'aide à la décision
En matière de technologies, informatique et applications de logiciels, Chaâbane Djebbara, a inventé son «pack vision». Celui-ci décrit des méthodes algorithmiques (logiciels) permettant de suivre des objets en mouvements à partir de la vidéo. Ce système pourra utiliser des informations extraites du flux vidéo, provenant d'un réseau de caméras et analyse les comportements des objets mobiles. Smaïl Salhi est également un jeune chercheur innovateur. Il veut, via son projet «Qleek», la réification des données numériques pour une expérience utilisateur inédite, combinant le monde virtuel et le monde physique. «Il s'agit de la fusion ?'utile'' de l'espace social virtuel avec le monde réel, grâce à de nouvelles technologies permettant de faire communiquer des services ou des applications informatiques avec des objets du quotidien et des créations artistiques.». Dans le domaine des services aux entreprises, le Dr Amel Ould Amer, de son côté, propose, à travers «Optima Décision», un service innovant de Business Intelligence, CRM (Customer Relationship Management), Data Mining, ERP (Enterprise Resource Planning), Géomarketing et Optimisation (résolution des problèmes de recherche opérationnelle). Ce qui prouvera que la technologie et les applications de l'aide à la décision vont devenir l'une des principales armes utilisées par les entreprises dans la course à la compétitivité. Avec l'ère de la dépendance «IT dependent» et les systèmes d'information «SI», un autre projet est proposé par le Dr Adel Gacem dans le cadre des Tic. Il veut anticiper la croissance de l'entreprise et répondre aux attentes. Il propose donc une plateforme «cloud computing» basée sur des services d'hébergement de très haute disponibilité (Datacenter), des accès rapides, fiables et sécurisés aux flux de données (Datacenter) et des offres de réorganisation des systèmes d'information (architectures cloud computing). «Les quelques multinationales du domaine ne sont pas prêtes et dimensionnées pour investir dans tous les pays, elles se concentrent dans l'hémisphère Nord et se focalisent sur les pays industrialisés et/ou émergents.»




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