Algérie

La sûreté de daïra de Chéraga honore Mohamed Chérif Ould El Hocine Journée nationale du chahid



La sûreté de daïra de Chéraga honore Mohamed Chérif Ould El Hocine Journée nationale du chahid
Ils sont nombreux les Algériens à ne pas savoir ce que représente le 18 février. En apprenant que c'est la Journée nationale du chahid, c'est l'étonnement. C'est dire que les martyrs qui se sont sacrifiés pour le pays, risquent un jour d'être oubliés. Afin que nul n'oublie et pour entretenir la mémoire, surtout auprès des nouvelles générations, la sûreté de daïra de la circonscription administrative de Chéraga a organisé, lundi après-midi, une cérémonie sous l'égide du Directeur général de la Sûreté nationale dans le cadre des festivités la Journée nationale du chahid, pour rendre hommage aux chouhada et honorer les moudjahidine de la circonscription encore en vie.
Un hommage particulier a été rendu au moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine. La salle des conférences de la sûreté de daïra a vu affluer en son sein le wali délégué de Chéraga, le chef de sûreté de wilaya adjoint, le chef de sûreté de daïra, le chef de la compagnie de la Gendarmerie nationale de la circonscription, le chef de la cellule de renseignements généraux ainsi que le président de l'APC de Chéraga, de nombreux moudjahidine, des veuves et enfants de chahid. Une initiative à saluer. Au début de la cérémonie, le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine, officier de la glorieuse Armée de libération nationale (ALN), baroudeur, ayant fait ses preuves au sein des unités combattantes de la Wilaya IV historique a offert à toute l'assistance son ouvrage intitulé De la résistance à la guerre d'indépendance 1830-1962 publié chez Casbah éditions. Dans son ouvrage, le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine remonte le temps et croise en cours de chemin les principales figures qui ont conduit les soulèvements populaires contre le colonialisme français. De la résistance à la guerre d'indépendance est le fruit d'un travail de recherche sur les acteurs de la résistance - des connus, moins connus ou encore des anonymes - de la Révolution algérienne et des récits de batailles. C'est le troisième ouvrage d'une série consacrée, par l'auteur, aux témoignages et à la contribution de l'écriture de l'Histoire de la nation. Dans ses deux précédents ouvrages consacrés à la Révolution algérienne Au c'ur du combat et Elément pour la mémoire afin que nul n'oublie le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine apporte une contribution certaine à l'écriture de l'Histoire. Le premier livre est consacré à des récits de combats auxquels il a participé au sein de deux unités d'élite de l'ALN. Dans le second, il revisite pour nous le portrait de nombreux acteurs, morts ou vivants de toutes les wilayate historiques. Pour revenir à la cérémonie, cette dernière a été l'occasion pour les différents intervenants de mettre en exergue le sens du sacrifice des acteurs de la Révolution pour un objectif : la libération du pays de la soldatesque coloniale. Quand au choix de la date du 18 février pour la Journée nationale du chahid, le moudjahid, Ahmed Megraa s'est chargé de donner une explication. « Le mois de février est un mois particulier pour l'Algérie », dira-t-il en préambule, rappelant que durant ce mois, « il y a eu, dans un passé récent, la nationalisation des hydrocarbures et plus loin dans le temps, le rapport de politique générale du GPRA, l'appel de Ferhat Abbès pour une République algérienne et enfin la création de l'Organisation nationale des enfants de chouhada (Onec) ».
Seule fausse note de la cérémonie : Les initiateurs ont oublié d'inviter l'élément qui constitue la plus importante frange de la population algérienne, la jeunesse.
Ils sont nombreux les Algériens à ne pas savoir ce que représente le 18 février. En apprenant que c'est la Journée nationale du chahid, c'est l'étonnement. C'est dire que les martyrs qui se sont sacrifiés pour le pays, risquent un jour d'être oubliés. Afin que nul n'oublie et pour entretenir la mémoire, surtout auprès des nouvelles générations, la sûreté de daïra de la circonscription administrative de Chéraga a organisé, lundi après-midi, une cérémonie sous l'égide du Directeur général de la Sûreté nationale dans le cadre des festivités la Journée nationale du chahid, pour rendre hommage aux chouhada et honorer les moudjahidine de la circonscription encore en vie.
Un hommage particulier a été rendu au moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine. La salle des conférences de la sûreté de daïra a vu affluer en son sein le wali délégué de Chéraga, le chef de sûreté de wilaya adjoint, le chef de sûreté de daïra, le chef de la compagnie de la Gendarmerie nationale de la circonscription, le chef de la cellule de renseignements généraux ainsi que le président de l'APC de Chéraga, de nombreux moudjahidine, des veuves et enfants de chahid. Une initiative à saluer. Au début de la cérémonie, le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine, officier de la glorieuse Armée de libération nationale (ALN), baroudeur, ayant fait ses preuves au sein des unités combattantes de la Wilaya IV historique a offert à toute l'assistance son ouvrage intitulé De la résistance à la guerre d'indépendance 1830-1962 publié chez Casbah éditions. Dans son ouvrage, le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine remonte le temps et croise en cours de chemin les principales figures qui ont conduit les soulèvements populaires contre le colonialisme français. De la résistance à la guerre d'indépendance est le fruit d'un travail de recherche sur les acteurs de la résistance - des connus, moins connus ou encore des anonymes - de la Révolution algérienne et des récits de batailles. C'est le troisième ouvrage d'une série consacrée, par l'auteur, aux témoignages et à la contribution de l'écriture de l'Histoire de la nation. Dans ses deux précédents ouvrages consacrés à la Révolution algérienne Au c'ur du combat et Elément pour la mémoire afin que nul n'oublie le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine apporte une contribution certaine à l'écriture de l'Histoire. Le premier livre est consacré à des récits de combats auxquels il a participé au sein de deux unités d'élite de l'ALN. Dans le second, il revisite pour nous le portrait de nombreux acteurs, morts ou vivants de toutes les wilayate historiques. Pour revenir à la cérémonie, cette dernière a été l'occasion pour les différents intervenants de mettre en exergue le sens du sacrifice des acteurs de la Révolution pour un objectif : la libération du pays de la soldatesque coloniale. Quand au choix de la date du 18 février pour la Journée nationale du chahid, le moudjahid, Ahmed Megraa s'est chargé de donner une explication. « Le mois de février est un mois particulier pour l'Algérie », dira-t-il en préambule, rappelant que durant ce mois, « il y a eu, dans un passé récent, la nationalisation des hydrocarbures et plus loin dans le temps, le rapport de politique générale du GPRA, l'appel de Ferhat Abbès pour une République algérienne et enfin la création de l'Organisation nationale des enfants de chouhada (Onec) ».
Seule fausse note de la cérémonie : Les initiateurs ont oublié d'inviter l'élément qui constitue la plus importante frange de la population algérienne, la jeunesse.


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