Les services agricoles ambitionnent de créer une industrie autour de l'extraction de l'huile très recherchée de la figue de barbarie, qui se vend entre 350 et 500 euros le litre...Les services agricoles ambitionnent de créer une industrie autour de l'extraction de l'huile très recherchée de la figue de barbarie, qui se vend entre 350 et 500 euros le litre...
Dans la wilaya de Souk Ahras, la zone de plantation de la figue de Barbarie est passée de 1.000 hectares, il y a quelques années, à 10.000 hectares actuellement, concentrée essentiellement dans les zones arides, semi-arides et steppiques, ont indiqué les services agricoles, précisant que dans la commune frontalière de Sidi Fradj se concentre 60% de l'ensemble des zones de plantation de ce fruit, alors que les communes d'Ouled Moumen, Taoura, Drea, Ouilen, Ouled Abbas, à côté de la région du Ouenza, dans la wilaya de Tébessa, dotée d'un marché de gros de vente de figues de Barbarie, se partagent les 40% restant de la culture de ce fruit.
Selon Rachid Rhamnia, chef de
service de la production et soutien technique à la direction des services agricoles, le projet de la réalisation d'une coopérative agricole de traitement et d'exploitation de la figue de Barbarie à la mechta de Chekaka, dans la commune de Sidi Fredj, lancé en avril dernier, à l'issue d'un colloque international consacré à ce fruit, est en mesure de "réorganiser les métiers agricoles", afin d'aboutir à la "création de nouveaux pôles dans ce secteur", a-t-il indiqué à l'APS.
Lancée dans le cadre de l'investissement privé, cette coopérative, qui s'étend sur une superficie de 5.000 m2 et dont les délais de réalisation ont été fixés à 12 mois, se consacrera à la transformation de la figue de Barbarie, à son conditionnement et à l'extraction de son huile. De son côté le président de la chambre d'agriculture de Souk Ahras, Mohamed-Yazid Hambli, a mis l'accent sur l'importance de valoriser les produits du terroir et leur exploitation au service du renouveau agricole et rural, et d'introduire la figue de barbarie comme l'un des produits de la région.
Les services agricoles à Souk Ahras 'uvrent, actuellement, à intensifier la culture de ce fruit pour ses vertus nutritionnelles, aliment du bétail, ou pour fixer les sols. Les services agricoles ambitionnent également de créer une industrie autour de l'extraction de l'huile de la figue de barbarie, qui se vend entre 350 et 500 euros le litre, l'équivalent de plus de
35.000 dinars.
Présent dans les différents quartiers de la ville de Souk Ahras le fruit fait souvent de l'ombre aux pommes, aux pastèques et mêmes au raisin.
Des centaines d'étals de vente de ce fruit sont partout et attirent la foule, en dépit de son prix "élevé" par rapport aux années précédentes puisque la figue de Barbarie est cédée à l'unité entre 10 et 15 dinars.
B. M.
Dans la wilaya de Souk Ahras, la zone de plantation de la figue de Barbarie est passée de 1.000 hectares, il y a quelques années, à 10.000 hectares actuellement, concentrée essentiellement dans les zones arides, semi-arides et steppiques, ont indiqué les services agricoles, précisant que dans la commune frontalière de Sidi Fradj se concentre 60% de l'ensemble des zones de plantation de ce fruit, alors que les communes d'Ouled Moumen, Taoura, Drea, Ouilen, Ouled Abbas, à côté de la région du Ouenza, dans la wilaya de Tébessa, dotée d'un marché de gros de vente de figues de Barbarie, se partagent les 40% restant de la culture de ce fruit.
Selon Rachid Rhamnia, chef de
service de la production et soutien technique à la direction des services agricoles, le projet de la réalisation d'une coopérative agricole de traitement et d'exploitation de la figue de Barbarie à la mechta de Chekaka, dans la commune de Sidi Fredj, lancé en avril dernier, à l'issue d'un colloque international consacré à ce fruit, est en mesure de "réorganiser les métiers agricoles", afin d'aboutir à la "création de nouveaux pôles dans ce secteur", a-t-il indiqué à l'APS.
Lancée dans le cadre de l'investissement privé, cette coopérative, qui s'étend sur une superficie de 5.000 m2 et dont les délais de réalisation ont été fixés à 12 mois, se consacrera à la transformation de la figue de Barbarie, à son conditionnement et à l'extraction de son huile. De son côté le président de la chambre d'agriculture de Souk Ahras, Mohamed-Yazid Hambli, a mis l'accent sur l'importance de valoriser les produits du terroir et leur exploitation au service du renouveau agricole et rural, et d'introduire la figue de barbarie comme l'un des produits de la région.
Les services agricoles à Souk Ahras 'uvrent, actuellement, à intensifier la culture de ce fruit pour ses vertus nutritionnelles, aliment du bétail, ou pour fixer les sols. Les services agricoles ambitionnent également de créer une industrie autour de l'extraction de l'huile de la figue de barbarie, qui se vend entre 350 et 500 euros le litre, l'équivalent de plus de
35.000 dinars.
Présent dans les différents quartiers de la ville de Souk Ahras le fruit fait souvent de l'ombre aux pommes, aux pastèques et mêmes au raisin.
Des centaines d'étals de vente de ce fruit sont partout et attirent la foule, en dépit de son prix "élevé" par rapport aux années précédentes puisque la figue de Barbarie est cédée à l'unité entre 10 et 15 dinars.
B. M.
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Posté Le : 05/09/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Bouziane Mehdi
Source : www.lemidi-dz.com