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La sociologie de la sociologie !



La sociologie de la sociologie !
Tous les êtres humains attisent d'eux-mêmes, entre eux-mêmes et pour eux-mêmes des relations que ce soient bonnes ou mauvaises. Le lien social est celui dont les rapports sociaux le maintiennent davantage pour y contribuer positivement afin que la vie sociale commune soit à la fois organisée et riche. De là s'inscrit effectivement le processus sociologique dans la vie des uns et des autres leur permettant d'incarner le sens institutionnel à savoir le maintien d'ordre qui est en question au nom duquel s'inventent et s'incarnent les valeurs, les principes et les idéaux pour donner dynamique à l'ordre social sans pour autant se laisser emporter par l'échec, voire de l'effondrement. Chaque société se renouvelle à travers ses leaders, ses institutions et ses projets vers ce qui la rend forte ou faible.Il est certain de dire qu'il existe en effet une idée qui consiste à valider les comportements et organiser les démarches. Car on ne peut pas vivre en dehors de nos moyens sans être conscients de ce qu'on fait ou on souhaiterait faire sinon c'est un gâchis latent qui ne ramène nulle part. C'est entre ?je' et ?moi' qu'aurait pu s'interroger l'école de Chicago concernant la question des immigrés venus des horizons différents pour les mettre au service de l'Amérique à travers ses chercheurs, ses docteurs et ses doctorants. Or ?je' ce n'est que la réponse de l'organisme aux attitudes des autres, tandis que le ?moi' est l'ensemble organisé d'attitudes que je prête aux autres. Les attitudes des autres constituent le ?moi' organisé et on réagit face à cela en tant que ?je', confirment les fondateurs de la même école. Il s'agit de symboles, d'actions mais aussi d'intentions déterminant le comportement qui agit autour du sens qui reflète une caractéristique propre à l'humain. Celui-ci est synonyme de son milieu et, qui le fait agir ainsi. L'individu forme le groupe ou le groupe qui est constitué d'individus ' Ainsi les rapports existants entre - eux soient riches ou pauvres. Â la base, il faut s'intéresser à la pensée qui demeure, elle, le socle du processus par lequel les solutions potentielles sont examinées sous l'angle quelles qu'elles soient des avantages et des désavantages. D'où l'individu s'oriente en tirant vers le haut la valeur qui serait choisie mais qui définit par conséquent son comportement par essai ou par erreur. L'acte ne peut que refléter en effet une interaction continuelle entre le ?je' et le ?moi' agissant en bloc ou en phase en un seul comportement unique. Mais c'est entre valeurs collectives et attitudes individuelles que se situe l'action sociale alors dominée par le courant de Chicago, contrairement à Durkheim qui a parlé de l'explication de phénomènes sociaux par d'autres. Ainsi s'émancipe l'idée à laquelle s'incarne le slogan of Sociological School . En étudiant la société, nous partons du contexte social global pour aboutir au problème ; sinon en étudiant un problème, nous sortons du problème pour aller vers son contexte global. Cela étant entre valeurs et attitudes que s'incarne le fait social selon Thomas tout en réalisant les quatre principes portant individus et groupes entre eux parmi lesquels : l'expérience nouvelle, la sécurité, la réponse et la reconnaissance. Parlons de la désorganisation au sein de la famille, de la cité, de l'espace public, de l'école, de l'entreprise, de l'université, etc., bref dans la société entière en question. Qu'en est-il alors dans ce cas de l'organisation s'il y a eu lieu ' Tout se résume par les bandes et gangs organisés ou par les comportements dévastés. Le sens du social change de cap par rapport aux forces vives existantes non pas celles qui se produisent en décision officielle mais celle de l'arrière-base développant ce lien alors porteur de dynamique significative sans laquelle les rapports sociaux sont fragiles sans pour autant qu'ils portent en eux une large taille pour englober les idées et porter les projets. Le sens social que puisse donner cette mécanique c'est de vivre en parfaite harmonie entre les uns et les autres. Mais il y a un risque majeur qui consiste à mettre en cause la famille qui est derrière ce dérapage dont les parents ne sont pas conscients ni d'eux-mêmes ni de leurs fils. Ce phénomène peut-il être généralisé dans la société ' Le risque probant c'est qu'on ne se donne pas importance à cela. Sa propagation ne reflète qu'un échec de valeurs communes auxquelles on croit. Les chiffres parlent d'eux-mêmes sur le taux du vol, du viol, de la criminalité, des trafics, d'insécurité etc., alors en augmentation accrue. Mais la question fondamentale qui se pose par rapport aux acteurs qui sont soit victimes soit spectateurs. Où sont-ils leur acte ' Est-ce cela relève de la désorganisation étant un produit dominant relations et rapports entres les uns et les autres d'une part, et vers les choses et le monde de l'autre 'Il s'agit de décomplexer le n?ud de la faille permettant l'enrichissement du lien social sans lequel le goût de la vie demeure amère. La compétence est synonyme de la productivité. L'ordre institutionnel est fondé sur la vision des uns et l'effort des autres afin que le tissu social soit en mesure d'être protégé et forgé à la fois par les idées et projets. L'ensemble institutionnel familier ou officiel doit trouver son homogénéité significative pour s'éloigner du risque afin de modeler le sens social. La société humaine devient stable et enrichissante quand elle porte de valeurs, de principes et de comportements permettant aux rapports sociaux de se focaliser sur le rôle des uns des autres. Ceux-ci s'accentuent pour rendre la vie commune, à terme beaucoup plus stable et productive à la fois. Mais cette vie commune risque d'être déstabilisée si les autres acteurs sociaux ne jouent point leur rôle signifiant en termes de créativité. Ce lien social doit être en mesure pour porter valeurs et projets d'une manière positive en allant au- delà de la vie normale. C'est entre le lien et l'ordre que s'émancipe l'individu face au groupe, voire la société à travers l'éducation, le civisme et l'instruction afin qu'ils rendent tous les deux un service à la société. Mais lequel ' Celle-ci agit par les grandes ?uvres à travers la culture du soi et la philosophie de tous. Il est vrai que le processus social selon certains sociologues avérés dont Park est constitué de rivalité, de conflit, d'adaptation et d'assimilation, tandis que l'ordre social est formé par l'équilibre économique, l'ordre politique, l'organisation sociale et enfin la personnalité et l'héritage culturel. Il ne s'agit guère de chercher une place paisible au sein de la société à chaque individu sans que cela ne soit volontairement admis par la conviction de soi et la servitude d'autrui. Face à cela, la société tribale a sa propre spécificité contrairement à celle de la société industrielle. Absorber toutes contradictions sociales c'est anticiper le rôle de la vie sociale.Quoi qu'il en soit, le National s'attache trop ou moins à travers son Nationalisme face à la Nation. Du mythe au réel. De là s'enracine effectivement l'idée qui consiste à développer non pas que l'appartenance sentimentale ou virtuelle passagère, mais plutôt de l'idée qu'on a sur soi-même face au projet qu'on développe et à la chose qu'on crée. C'est ce qui donne à cet égard une importance à la conception de la puissance dont l'individu devient peut être sa matière grise à travers son regard, son comportement et son attitude ayant une trace très significative. Moins de casse est une force de caractère aussi dominant l'espace commun par le bais de la connaissance claire vers un niveau plus élevé au moins souhaitable de part est d'autre. En gros, l'individu s'attache principalement à tout ce qui est facile, mais le groupe le dépassant par l'intérêt global sinon positif que tient celui-ci face à soi (l'individu). Chaque peuple se bat à travers ses hommes, ses savants et ses philosophes de dépasser les zones de turbulence, de tension et de déclin. Acquérir la puissance au niveau de l'Etat vise à grandir les chances de réussite dans la société. L'idéal d'un peuple se minimise au niveau de ses dirigeants mais ceux-ci voient en lui comme s'ils sont mieux placés pour lui indiquer le chemin qu'il ignore. D'où la dynamique du pouvoir se change à travers l'histoire par rapport aux générations, aux cultures et aux politiques dominantes les sphères du sérail. Par définition, plus la culture est solide, plus elle domine la nature ; une forme de lutte contre la barbarie ; autrement dit tout ce qui est anormal. D'où les cultures bâtissent les civilisations, tandis que les barbaries mettent en déclin les civilisations. Or l'état de nature explique souvent en l'absence du sens constructif régnant à la place mais en dehors de la prise de la théorie de la culture, voire la culture savante. Ceci dit enfin que les états généraux de la nature humaine leur manque de dynamique en facilitant la seconde étape vers l'éducation effective, la diffusion du savoir et l'utilité de la connaissance scientifique que porte et dégage le corps social vers tous les secteurs et activités divers et variés. (*) Enseignant et essayiste




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