Algérie

La SNVI achète pour 4 millions d'euros par an de pièces de rechange Industrie automobile en Algérie



La valeur globale des pièces de rechange livrées annuellement par les sous-traitants nationaux à la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) avoisine les 4 millions d'euros, a indiqué, lundi à Alger, le président de l'Union professionnelle de l'industrie automobile et mécanique (UPIAM), M.Brahim Bendris.
"Ces sous-traitants ont réussi à fabriquer des pièces pour le montage de véhicules industriels, ce qui démontre le professionnalisme des entreprises algériennes dans ce domaine", a précisé M.Bendris à la presse en marge de l'assemblée générale de l'UPIAM, qui regroupe près de 70 membres des secteurs public et privé. Il s'agit "d'un gain gagné sur la facture des importations de pièces de rechange mécaniques destinés à la SNVI", a-t-il soutenu. Les membres de l'UPIAM participeront également à la fabrication d'équipements pour le montage de véhicules industriels et utilitaires dans le cadre des projets de partenariats envisagés avec des entreprises étrangères. Pour le P-DG de la SNVI, M. Mokhtar Chahboub, ces projets feront appel à des sous-traitants nationaux en termes de fabrication de la pièce de rechange nécessaire pour le montage de véhicules avec un taux d'intégration industrielle de 20 à 30%. Selon lui, "il n'existait pas de sous-traitants dans ce domaine auparavant parce qu'il n'y avait pas d'offre sur le marché national". La SNVI fabriquait entre 3.000 et 4.000 véhicules par an, une offre qui n'était pas suffisante, pour lui, pour développer la sous-traitance industrielle dans ce secteur. Cette entreprise publique envisage de fabriquer à moyen terme près de 200.000 véhicules par an, ce qui permettra de développer un tissu industriel de la sous-traitance, a-t-il expliqué. M. Chahboub a indiqué, par ailleurs, que près de 350 sous-traitants activent dans le domaine de la fabrication des équipements d'automobiles et de véhicules industriels, préconisant l'accompagnement de ces industriels en termes de formation.
Pollution environnementale
Le GPL/C : «une solution propre»
La pollution de l'air en milieu urbain par les transports et les mesures à prendre pour la généralisation de l'utilisation des carburants propres ont été le thème d'un atelier sous-régional. Les carburants propres peuvent être le GPL/C (gaz propane liquéfié carburant), le GNC (gaz naturel carburant), l'essence sans plomb ou le gasoil sans soufre. Selon le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement, l'une des causes de la pollution de l'air en milieu urbain reste la "densité" du réseau routier qui supporte le trafic d'un parc automobile en croissance constante, utilisant le plus souvent des carburants polluants. L'Algérie a encouragé dès les années 1980 l'émergence de produits de substitutions propres, à savoir le GPL/C et le GNC. La consommation du GPL/C n'a cessé de croître depuis, suite à l'extension du réseau et des points de conversion ainsi qu'à l'ouverture à partir de 1995 de l'activité de conversion des véhicules à l'initiative des opérateurs privés et de NAFTAL. Au cours des cinq dernières années, le taux de croissance moyen de la consommation est supérieur à 10% par an. La demande de GPL/C a progressé de 170.000 tonnes en 2003 à plus de 340.000 tonnes en 2008 avec un réseau de plus de 400 points de vente à la fin de la même année.
La valeur globale des pièces de rechange livrées annuellement par les sous-traitants nationaux à la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) avoisine les 4 millions d'euros, a indiqué, lundi à Alger, le président de l'Union professionnelle de l'industrie automobile et mécanique (UPIAM), M.Brahim Bendris.
"Ces sous-traitants ont réussi à fabriquer des pièces pour le montage de véhicules industriels, ce qui démontre le professionnalisme des entreprises algériennes dans ce domaine", a précisé M.Bendris à la presse en marge de l'assemblée générale de l'UPIAM, qui regroupe près de 70 membres des secteurs public et privé. Il s'agit "d'un gain gagné sur la facture des importations de pièces de rechange mécaniques destinés à la SNVI", a-t-il soutenu. Les membres de l'UPIAM participeront également à la fabrication d'équipements pour le montage de véhicules industriels et utilitaires dans le cadre des projets de partenariats envisagés avec des entreprises étrangères. Pour le P-DG de la SNVI, M. Mokhtar Chahboub, ces projets feront appel à des sous-traitants nationaux en termes de fabrication de la pièce de rechange nécessaire pour le montage de véhicules avec un taux d'intégration industrielle de 20 à 30%. Selon lui, "il n'existait pas de sous-traitants dans ce domaine auparavant parce qu'il n'y avait pas d'offre sur le marché national". La SNVI fabriquait entre 3.000 et 4.000 véhicules par an, une offre qui n'était pas suffisante, pour lui, pour développer la sous-traitance industrielle dans ce secteur. Cette entreprise publique envisage de fabriquer à moyen terme près de 200.000 véhicules par an, ce qui permettra de développer un tissu industriel de la sous-traitance, a-t-il expliqué. M. Chahboub a indiqué, par ailleurs, que près de 350 sous-traitants activent dans le domaine de la fabrication des équipements d'automobiles et de véhicules industriels, préconisant l'accompagnement de ces industriels en termes de formation.
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Le GPL/C : «une solution propre»
La pollution de l'air en milieu urbain par les transports et les mesures à prendre pour la généralisation de l'utilisation des carburants propres ont été le thème d'un atelier sous-régional. Les carburants propres peuvent être le GPL/C (gaz propane liquéfié carburant), le GNC (gaz naturel carburant), l'essence sans plomb ou le gasoil sans soufre. Selon le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement, l'une des causes de la pollution de l'air en milieu urbain reste la "densité" du réseau routier qui supporte le trafic d'un parc automobile en croissance constante, utilisant le plus souvent des carburants polluants. L'Algérie a encouragé dès les années 1980 l'émergence de produits de substitutions propres, à savoir le GPL/C et le GNC. La consommation du GPL/C n'a cessé de croître depuis, suite à l'extension du réseau et des points de conversion ainsi qu'à l'ouverture à partir de 1995 de l'activité de conversion des véhicules à l'initiative des opérateurs privés et de NAFTAL. Au cours des cinq dernières années, le taux de croissance moyen de la consommation est supérieur à 10% par an. La demande de GPL/C a progressé de 170.000 tonnes en 2003 à plus de 340.000 tonnes en 2008 avec un réseau de plus de 400 points de vente à la fin de la même année.


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