Algérie

La santé malsaine


Si, de surcroît, ce responsable se trouve à  la tête d'une structure de santé, le mal est plus profond.  Cela ne se passe pas en 1940, ni en 1950 ni même en 1970, mais bien en 2012 en Algérie, sur les hauteurs de la capitale. Rien ne justifie ni n'explique pareil outrage, car c'en est un, rien, absolument rien. Sauf que ce  «responsable» doit àªtre mal dans sa tête et dans sa peau, n'ayant rien compris aux textes de Nougaro ou de Perret, si tant est qu'il connaisse l'un et l'autre. Il est nécessaire parfois de rappeler à  certains que le régime d'apartheid n'a plus cours en Afrique du Sud pour le plus grand bien de l'humanité, et que le sang est invariablement un liquide rouge, épais, circulant dans le système vasculaire sanguin. Certains auraient fort besoin d'une thérapie de choc, mais ailleurs, car cette structure ne dispose pas de psychanalyste.
Il est vrai que tout a une limite, sauf la bêtise humaine. Mais quand le mal se niche dans les recoins d'une pseudo-élite nauséabonde qui devrait àªtre un modèle d'ouverture, de tolérance et d'humanisme, la vigilance est de mise, la bête immonde est dans nos murs.
 
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