Algérie

La Russie accusée de "mener une guerre contre l'Ukraine"



La Russie accusée de
Le gouvernement ukrainien a déclenché dimanche une "opération antiterroriste" dans l'Est après une série d'attaques de groupes armés pro-russes. Le gouvernement ukrainien pro-européen a déclenché dimanche une "opération antiterroriste" dans l'Est contre les insurgés armés pro-russes, dont l'offensive porte, selon Kiev, Washington et l'Otan, toutes les marques d'une implication de Moscou.Le gouvernement ukrainien a déclenché dimanche une "opération antiterroriste" dans l'Est après une série d'attaques de groupes armés pro-russes. Le gouvernement ukrainien pro-européen a déclenché dimanche une "opération antiterroriste" dans l'Est contre les insurgés armés pro-russes, dont l'offensive porte, selon Kiev, Washington et l'Otan, toutes les marques d'une implication de Moscou."Le sang a été versé dans la guerre que la Russie livre à l'Ukraine", a affirmé le président ukrainien par intérim Olexandre Tourtchinov dans un discours à la nation, ajoutant avoir ordonné "une opération antiterroriste de grande envergure" pour mettre fin à ces troubles. Selon le ministre de l'Intérieur Arsen Avakov, l'opération, entamée dimanche matin, a fait "des morts et des blessés des deux côtés". La Russie a quant à elle appelé les autorités de Kiev à cesser "la guerre contre leur propre peuple".Le regain de violence depuis 48 heures fait peser une incertitude sur des pourparlers prévus pour la semaine prochaine afin de tenter de régler la pire crise Est-Ouest depuis la fin de la guerre froide. Et il fait craindre que Moscou, qui a massé jusqu'à 40.000 hommes à la frontière, ne saisisse ce prétexte pour une intervention, le président Vladimir Poutine ayant promis de défendre "à tout prix" les ressortissants russes dans l'ex-URSS.Une série d'attaques visiblement coordonnées a été lancée samedi dans des villes de l'Est russophone de l'Ukraine, région frontalière de la Russie, par des hommes armés, portant souvent des uniformes sans insignes. Des incidents qui rappellent les événements du mois de mars en Crimée, rattachée à la Russie après l'intervention de groupes armés non-identifiés - des militaires russes selon tous les observateurs - et un référendum controversé."Le sang a été versé dans la guerre que la Russie livre à l'Ukraine", a affirmé le président ukrainien par intérim Olexandre Tourtchinov dans un discours à la nation, ajoutant avoir ordonné "une opération antiterroriste de grande envergure" pour mettre fin à ces troubles. Selon le ministre de l'Intérieur Arsen Avakov, l'opération, entamée dimanche matin, a fait "des morts et des blessés des deux côtés". La Russie a quant à elle appelé les autorités de Kiev à cesser "la guerre contre leur propre peuple".Le regain de violence depuis 48 heures fait peser une incertitude sur des pourparlers prévus pour la semaine prochaine afin de tenter de régler la pire crise Est-Ouest depuis la fin de la guerre froide. Et il fait craindre que Moscou, qui a massé jusqu'à 40.000 hommes à la frontière, ne saisisse ce prétexte pour une intervention, le président Vladimir Poutine ayant promis de défendre "à tout prix" les ressortissants russes dans l'ex-URSS.Une série d'attaques visiblement coordonnées a été lancée samedi dans des villes de l'Est russophone de l'Ukraine, région frontalière de la Russie, par des hommes armés, portant souvent des uniformes sans insignes. Des incidents qui rappellent les événements du mois de mars en Crimée, rattachée à la Russie après l'intervention de groupes armés non-identifiés - des militaires russes selon tous les observateurs - et un référendum controversé.




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