La route de l'hôtel toujours fermée

Les riverains, tout comme les habitants des hauteurs, sont contraints à  un long détour pour se rendre du côté Ouest de la ville. L'importance de cette voie n'est plus à  démontrer, sachant qu'elle est empruntée non seulement par ses nombreux riverains, mais aussi par les clients de l'auberge de jeunes, du centre de formation professionnelle et surtout par les équipes de la protection civile. Pour une simple intervention, les pompiers sont obligés de parcourir près de deux kilomètres, en risquant de s'empêtrer dans les embouteillages de la ville, alors qu'auparavant la bretelle, aujourd'hui fermée, leur permettait de gagner la ville en quelques minutes. Il faut dire qu'avant ledit éboulement, les automobilistes venant des communes limitrophes situées à  l'est empruntaient cette rue pour éviter les bouchons du centre-ville et se retrouvaient rapidement de l'autre côté de la route allant vers Tizi Ouzou. Certes, les travaux de remise en l'état s'avèrent délicats et risqués en raison de l'existence en son sous-sol d'une conduite d'eau de diamètre 600, mais une solution appelle à  àªtre pensée par les autorités pour soulager les uns et les autres de ce problème qui n'a que trop duré.