Algérie

La rénovation du réseau AEP touchera une quarantaine de villes



La rénovation du réseau AEP touchera une quarantaine de villes
La rénovation du réseau d'alimentation en eau potable touchera une quarantaine de villes et concernera près de 30.000 km de canalisations au cours du prochain quinquennat 2015-2019 a affirmé, jeudi à Alger, le ministre des Ressources en eaux, Hocine Necib.La rénovation du réseau d'alimentation en eau potable touchera une quarantaine de villes et concernera près de 30.000 km de canalisations au cours du prochain quinquennat 2015-2019 a affirmé, jeudi à Alger, le ministre des Ressources en eaux, Hocine Necib.S'exprimant sur les ondes de la Radio nationale, Necib a évoqué les objectifs assignés à son secteur pour le prochain plan quinquennal, citant d'une part, l'extension du réseau d'alimentation à travers l'augmentation du taux de raccordement des foyers et, d'autre part, la mise à niveau du réseau AEP."Pour réaliser ces objectifs stratégiques à la fin du prochain quinquennat, ce sont près de 5000 km de canalisations qui doivent être mis à niveau annuellement", a-t-il souligné. Mettant en exergue le grave déficit hydrique qui a caractérisé les décennies 80 et 90, Necib a rappelé que le secteur des ressources en eau a bénéficié d'investissements publics "massifs, dès le début des années 2000"."Soutenu par une forte volonté politique, cet effort de développement a pour objectif de permettre à tous les citoyens algériens d'accéder à l'eau potable où qu'ils se trouvent" a-t-il précisé. Evoquant les défis futurs qui guettent le secteur, Necib a affirmé que "si la bataille de la mobilisation des ressources hydriques a été gagnée grâce à la construction de nombreux barrages au cours de la dernière décennie, un autre défi, celui de la gestion de l'eau et de l'amélioration du service public devait désormais être impérativement relevé".Rappelant que la gestion de l'eau est un métier complexe, le ministre a reconnu que l'expérience de la gestion déléguée de l'eau dans les grandes villes a permis indéniablement un transfert d'expertise et de savoir-faire au profit des cadres algériens. Grâce à l'expérience acquise dans ce domaine, la gestion de l'eau de grandes villes telles que Oran et Annaba fera l'objet désormais de simples contrats d'assistance technique aménagés, a-t-il encore ajouté.S'agissant du déficit hydrique que connaissent certaines wilayas de l'est du pays, le ministre a annoncé l'achèvement prochain du grand transfert d'eau entre les barrages de Beni Haroun et Koudiet el Medouar. La livraison de ce gigantesque ouvrage, dont le coût de réalisation est évalué à 170 milliards DA.Evoquant le bilan pluviométrique pour la saison en cours, Necib a affirmé qu'avec près de 5,6 milliards de m3, les barrages avaient atteint un taux de remplissage de 85%, ce qui devrait offrir une sécurité d'approvisionnement pour une période de deux ans, a-t-il conclu.S'exprimant sur les ondes de la Radio nationale, Necib a évoqué les objectifs assignés à son secteur pour le prochain plan quinquennal, citant d'une part, l'extension du réseau d'alimentation à travers l'augmentation du taux de raccordement des foyers et, d'autre part, la mise à niveau du réseau AEP."Pour réaliser ces objectifs stratégiques à la fin du prochain quinquennat, ce sont près de 5000 km de canalisations qui doivent être mis à niveau annuellement", a-t-il souligné. Mettant en exergue le grave déficit hydrique qui a caractérisé les décennies 80 et 90, Necib a rappelé que le secteur des ressources en eau a bénéficié d'investissements publics "massifs, dès le début des années 2000"."Soutenu par une forte volonté politique, cet effort de développement a pour objectif de permettre à tous les citoyens algériens d'accéder à l'eau potable où qu'ils se trouvent" a-t-il précisé. Evoquant les défis futurs qui guettent le secteur, Necib a affirmé que "si la bataille de la mobilisation des ressources hydriques a été gagnée grâce à la construction de nombreux barrages au cours de la dernière décennie, un autre défi, celui de la gestion de l'eau et de l'amélioration du service public devait désormais être impérativement relevé".Rappelant que la gestion de l'eau est un métier complexe, le ministre a reconnu que l'expérience de la gestion déléguée de l'eau dans les grandes villes a permis indéniablement un transfert d'expertise et de savoir-faire au profit des cadres algériens. Grâce à l'expérience acquise dans ce domaine, la gestion de l'eau de grandes villes telles que Oran et Annaba fera l'objet désormais de simples contrats d'assistance technique aménagés, a-t-il encore ajouté.S'agissant du déficit hydrique que connaissent certaines wilayas de l'est du pays, le ministre a annoncé l'achèvement prochain du grand transfert d'eau entre les barrages de Beni Haroun et Koudiet el Medouar. La livraison de ce gigantesque ouvrage, dont le coût de réalisation est évalué à 170 milliards DA.Evoquant le bilan pluviométrique pour la saison en cours, Necib a affirmé qu'avec près de 5,6 milliards de m3, les barrages avaient atteint un taux de remplissage de 85%, ce qui devrait offrir une sécurité d'approvisionnement pour une période de deux ans, a-t-il conclu.




Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)