Ils étaient plusieurs centaines, selon des estimations difficilement vérifiables, à prendre part à la protesta avec des slogans "parlants" .Ils étaient plusieurs centaines, selon des estimations difficilement vérifiables, à prendre part à la protesta avec des slogans "parlants" .L' action de protestation contre le projet de gaz de schiste est remontée un peu plus au nord de In- Salah, lieu de départ de la contestation sur ce projet. Ils étaient plusieurs centaines de personnes à rallier le lieu de rassemblement, la place jouxtant le siège de la commune d'Ouargla.Parmi ces personnes figuraient les figures marquantes de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD), à l'instar de Sofiane Djilali président du parti Jil Djadid, Mohsen Belabbès (RCD), Ahmed Adimi au nom du Pôle du changement ou encore Nourredine Bahbouh président de l'Union des forces démocratiques et sociales (UFDS).La participation de la CNLTD, qui regroupe de nombreux partis de l'opposition, à la marche contre le gaz de schiste, fait suite à l'appel lancé par le Comité populaire contre le gaz de schiste à tous les acteurs de la société civile et ceux de la classe politique, pour réclamer « l'arrêt immédiat » du projet d'exploitation de ce gaz non conventionnel.Le sit in s'est déroulé sans qu'aucun incident ne soit signalé. A 9 h du matin, l'esplanade du siège de la commune de Ouargla voi arriver des manifestants, ils étaient plusieurs centaines, selon des estimations difficilement vérifiables, à prendre part à la protesta avec des slogans « parlants » du refus du projet de gaz schiste qui, selon les protestataires, nuit à la santé humaine et à l'environnement dans son sens le plus large.« Non au gaz de schiste », « Samidoune, Samidoune, Lil Ghaz Essakhri Raffidoune » (nous restons toujours opposés au projet de gaz de schiste), « La Chamal, La Djanoub, El- Djazair Fil Kouloub » (ni Nord, ni Sud, l'Algérie dans le coeur de tous) et « El-Wihda Oua Essiyada, Li-Ikkaf El-Ghaz Essakhri » (Unité et souveraineté, pour stopper le projet de gaz de schiste) ont été les slogans repris par les milliers de manifestants qui reçu le soutien des « politiques » présents à l'action de protestation, demandant au « pouvoir de satisfaire ce que demande le peuple »,ou louant l'action citoyenne de In Salah en ce sens que « In-Salah nous a donné des leçons et envoyé des messages de résistance et d'intransigeance mais ce pouvoir ne sait pas lire les messages », anticipant sur les fruits à récolter « On commence à concrétiser ce qui reste du message des chouhadas : l'Etat démocratique ». Ou encore les hommages rendus à l'opposition (CNLTD) à qui les habitants de In-Salah promettent de faire un chemin ensemble. « Plus loin que ne le pense l'administration ».Les organisateurs du grand rassemblement de Ouargla clament d'ores et déjà victoire. Des milliers de personnes ont répondu favorablement à l'appel à manifester lancé par le collectif citoyen appuyé dans cette action par des responsables et représentants de partis politiques membres de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) et de l'Instance de coordination et de suivi de l'opposition (ICSO).La grande manifestation contre le gaz de schiste d'hier à Ouargla est un grand succès pour l'action citoyenne contre le gaz de schiste. Ce mouvement anti-gaz de schiste a réussi à faire la « jonction » entre les partis politiques, particulièrement ceux de l'opposition et les citoyens du sud du pays qui refusent de voir leur environnement mis en péril par l'exploitation de ce gaz non conventionnel.Le mouvement anti-gaz de schiste a-t-il mesuré les risques de « dérapages » en faisant appel à des acteurs ou partis politiques de l'opposition. En s'associant aussi étroitement avec l'opposition, le mouvement citoyen anti-gaz de schiste risque de voir son message détourné de son chemin.Les préoccupations politiques de la CLTD et ceux des citoyens du Sud du pays ne sont pas du même ordre. Les citoyens de cette région du pays ne demandent qu'une seule chose : l'arrêt immédiat du projet du gaz de schiste. La CNLTD, elle, y va par des revendications plus « politiques » qui évidemment dépassent le simple cadre de l'exploitation ou non du gaz de schiste ou la protection de l'environnement de la région.L' action de protestation contre le projet de gaz de schiste est remontée un peu plus au nord de In- Salah, lieu de départ de la contestation sur ce projet. Ils étaient plusieurs centaines de personnes à rallier le lieu de rassemblement, la place jouxtant le siège de la commune d'Ouargla.Parmi ces personnes figuraient les figures marquantes de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD), à l'instar de Sofiane Djilali président du parti Jil Djadid, Mohsen Belabbès (RCD), Ahmed Adimi au nom du Pôle du changement ou encore Nourredine Bahbouh président de l'Union des forces démocratiques et sociales (UFDS).La participation de la CNLTD, qui regroupe de nombreux partis de l'opposition, à la marche contre le gaz de schiste, fait suite à l'appel lancé par le Comité populaire contre le gaz de schiste à tous les acteurs de la société civile et ceux de la classe politique, pour réclamer « l'arrêt immédiat » du projet d'exploitation de ce gaz non conventionnel.Le sit in s'est déroulé sans qu'aucun incident ne soit signalé. A 9 h du matin, l'esplanade du siège de la commune de Ouargla voi arriver des manifestants, ils étaient plusieurs centaines, selon des estimations difficilement vérifiables, à prendre part à la protesta avec des slogans « parlants » du refus du projet de gaz schiste qui, selon les protestataires, nuit à la santé humaine et à l'environnement dans son sens le plus large.« Non au gaz de schiste », « Samidoune, Samidoune, Lil Ghaz Essakhri Raffidoune » (nous restons toujours opposés au projet de gaz de schiste), « La Chamal, La Djanoub, El- Djazair Fil Kouloub » (ni Nord, ni Sud, l'Algérie dans le coeur de tous) et « El-Wihda Oua Essiyada, Li-Ikkaf El-Ghaz Essakhri » (Unité et souveraineté, pour stopper le projet de gaz de schiste) ont été les slogans repris par les milliers de manifestants qui reçu le soutien des « politiques » présents à l'action de protestation, demandant au « pouvoir de satisfaire ce que demande le peuple »,ou louant l'action citoyenne de In Salah en ce sens que « In-Salah nous a donné des leçons et envoyé des messages de résistance et d'intransigeance mais ce pouvoir ne sait pas lire les messages », anticipant sur les fruits à récolter « On commence à concrétiser ce qui reste du message des chouhadas : l'Etat démocratique ». Ou encore les hommages rendus à l'opposition (CNLTD) à qui les habitants de In-Salah promettent de faire un chemin ensemble. « Plus loin que ne le pense l'administration ».Les organisateurs du grand rassemblement de Ouargla clament d'ores et déjà victoire. Des milliers de personnes ont répondu favorablement à l'appel à manifester lancé par le collectif citoyen appuyé dans cette action par des responsables et représentants de partis politiques membres de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) et de l'Instance de coordination et de suivi de l'opposition (ICSO).La grande manifestation contre le gaz de schiste d'hier à Ouargla est un grand succès pour l'action citoyenne contre le gaz de schiste. Ce mouvement anti-gaz de schiste a réussi à faire la « jonction » entre les partis politiques, particulièrement ceux de l'opposition et les citoyens du sud du pays qui refusent de voir leur environnement mis en péril par l'exploitation de ce gaz non conventionnel.Le mouvement anti-gaz de schiste a-t-il mesuré les risques de « dérapages » en faisant appel à des acteurs ou partis politiques de l'opposition. En s'associant aussi étroitement avec l'opposition, le mouvement citoyen anti-gaz de schiste risque de voir son message détourné de son chemin.Les préoccupations politiques de la CLTD et ceux des citoyens du Sud du pays ne sont pas du même ordre. Les citoyens de cette région du pays ne demandent qu'une seule chose : l'arrêt immédiat du projet du gaz de schiste. La CNLTD, elle, y va par des revendications plus « politiques » qui évidemment dépassent le simple cadre de l'exploitation ou non du gaz de schiste ou la protection de l'environnement de la région.
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Posté Le : 15/03/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : SADEK BELHOCINE
Source : www.lemidi-dz.com