Algérie

La promotion pour la culture de la paix Que sera l'Algérie de demain '



La promotion pour la culture de la paix                                Que sera l'Algérie de demain '
L'Organisation nationale de la promotion pour la culture de la paix (ONPCP), a insisté, hier, sur la nécessité de promouvoir la notion et la culture de la paix au sein de la société à travers le dialogue et la réconciliation. Pour le SG de cette organisation, le concept de la «culture de la paix» reste à promouvoir pour construire «l'Algérie de demain», thème à l'ordre du jour. Appuyant les propos de M. Bousbaâ, le spécialiste du droit, Boudjemma Souilah, a estimé que la culture de la paix ne peut être fondée que sur le principe de la légalité sociale, l'instauration d'un Etat de droit, l'application de la loi et surtout l'égalité des citoyens devant la loi. «La loi doit être appliquée à la lettre sans aucune discrimination et doit être au-dessus de tout», a réitéré l'orateur. En effet, M. Souilah a estimé que la société civile doit s'impliquer davantage et à tous les niveaux pour l'émergence d'une «culture de la paix». Sur un ton plein d'émotion, M. Souilah a essayé, en quelques mots, de résumer les soucis et le rêve de tout Algérien de voir son pays stable et prospère. Une aspiration légitime au vu des souffrances qu'il a endurées pendant la Guerre de libération et durant la décennie noire. L'ancien sénateur a, en outre, appelé les pouvoirs publics à soutenir les jeunes en quête d'un emploi, essentiellement ceux ayant bénéficié du dispositif d'aide à l'emploi (Ansej) et qui n'ont pas réussi dans leur projet, en épongeant leurs dettes, comme cela a été fait pour les agriculteurs. Pour Nadir Zbiri, «l'Algérie de demain sera fondée sur les principes de la démocratie, la tolérance, la paix et l'union». Cet avis a été partagé par la sénatrice Zahia Benarous. «L'Algérie de demain nous la voulons ''stable'' et cela ne peut se faire que sur la base du dialogue et de la communication. La politique de développement doit avoir pour fondement la valorisation des ressources humaines». Pour elle, nos parents ont vécu les atrocités du colonialisme, notre génération a souffert des affres du terrorisme, il est de notre devoir d'éviter aux futures générations de revivre le même drame.


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