Algérie

La presse célèbre le retour gagnant de «Super Wayne»



La presse célèbre le retour gagnant de «Super Wayne»
La presse anglaise célébrait mercredi le retour gagnant de l'attaquant Wayne Rooney, auteur du but de la victoire contre l'Ukraine (1-0) mardi à l'Euro tout en concédant que l'Angleterre avait été chanceuse en bénéficiant d'une décision litigieuse de l'arbitre. De retour à la compétition après avoir été suspendu pour les deux premiers matchs de l'Euro, l'attaquant de Manchester United, surnommé «Wonder Wayne» a marqué un but de la tête (48e) qui a permis à l'Angleterre de terminer première de son groupe et de se qualifier pour les quarts de finale du tournoi où elle défiera l'Italie. Mercredi matin, les tabloïds anglais encensaient tout particulièrement leur «chouchou» Rooney dont les récents implants capillaires semblent être une source inépuisable d'humour potache et de jeux de mots absolument intraduisible en français, car basés sur les termes «hair weave» signifiant peu ou prou «rajouts de cheveux». «Hair Weave Go» (Nous y sommes), se réjouit le Daily Mirror tandis que le Sun s'exclame en Une : «Weave done it» (On l'a fait) et que le Daily Mail félicite : «Weave got Italy next, thanks to Rooney» (Nous irons en Italie, merci à Rooney). Tout en saluant la prestation de Wayne Rooney, les autres journaux reconnaissent que l'Angleterre a eu également de la chance lorsqu'à la 62e minute, le but tout à fait valable de Marko Devic n'avait pas été accordé, ce qui aurait remis en selle l'Ukraine. Le Daily Telegraph célèbre le retour de «l'homme fort» et de «Madame la Chance, qui a fait les yeux doux à l'Angleterre reconnaissante». Anticipant le quart de finale dimanche face à l'Italie, le Telegraph estime que la sélection aux Trois Lions aborde la rencontre «avec respect mais sans peur». Pour le Times, Rooney n'a peut-être pas marqué le but qu'il avait imaginé dans ses rêveries d'avant-match, «mais qui s'en soucie'» «C'est peut-être le but le plus doux de (sa) vie», avance le journal qui loue par ailleurs la performance collective de l'Angleterre dans un stade hostile où avaient pris place près de 40 000 supporteurs ukrainiens. «Il fallait des tripes, il fallait de la concentration», constate le Times.




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