Algérie

La précarité, une maladie sociale'



A travers la planète, à l'échelle de chaque pays, de chaque ville, de chaque nation, de chaque région, de chaque quartier? D'un côté, il y a des riches extrêmement riches, dont certains, plus ils ont d'argent, moins ils prêtent attention aux autres et à leurs problèmes, et d'un autre côté, on trouve les pauvres assez misérables. Seulement la notion entre ces deux catégories qui se côtoient ensembles reflèterait les oppositions de classes au sein de la société.Hélas, entre le riche et le pauvre, il existe des écarts assez importants, ce qui est du besoin non comblé, les personnes en situation de précarité formeraient la catégorie d'usagers la moins bien desservie sur presque tous les plans et particulièrement sur celui de la santé, un secteur très sensible. Ces derniers dont la maladie s'ajoute à l'épreuve de la précarité, bénéficient, malheureusement en moindre proportion des soins de santé au niveau de la médecine privée, absence de moyens financiers oblige, se sentant assez lésés par rapport aux personnes mieux nanties, voire plus aisées.
Une situation sociale assez difficile à gérer financièrement pour le malade précaire dans le besoin, ayant toujours recours aux associations caritatives, aux bienfaiteurs et autres âmes charitables?etc?
C'est pourquoi, le don de chaque bienfaiteur permettra d'aider les associations caritatives à militer pour des politiques de soutien pour la protection se trouvant en situation de précarité, et ce, dans le souci de vivre une vie plus ou moins décente, et faire face au moins à un minimum de problèmes sociaux.
Ne dit-on pas de la précarité, ou pauvreté, ou misère,?qu'elle est une maladie sociale qui touche les plus démunis, les misérables, qui forment les catégories assez miséreuses? Lesquelles seraient exclues de presque la totalité des services qu'offre la société.
Certes, pour le pauvre, la richesse changerait beaucoup sa façon de vivre, sa façon de voir le monde?.. Mais tout compte fait pour lui, son besoin principal ce n'est spécialement pas la richesse au sens propre du mot, ni l'argent, dont-il a vraiment besoin, ce qu'il demande très modestement simplement une vie décente et surtout de la considération, ce qui doit faire de lui l'égal du riche. Le pauvre se demande souvent, comment il est vu par le riche, se soucie-t-il de lui, ressent-il ce qu'il ressent, sent-il le froid, la faim? '...


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