Algérie

La police intervient violemment dans ne manifestation anti-corruption


Entre 50.000 et 80.000 personnes, venues de toute la Roumanie et même de l'étranger, sesont rendues à Bucarest vendredi 10 aoûtpour demander la fin du gouvernement degauche et de la corruption qui gangrène lepays.Entre 50.000 et 80.000 personnes, venues de toute la Roumanie et même de l'étranger, sesont rendues à Bucarest vendredi 10 aoûtpour demander la fin du gouvernement degauche et de la corruption qui gangrène lepays.
Les gendarmes sont intervenus, à coupde canons à eau et de gaz lacrymogène.Résultat : plus de 450 blessés, selon la gendarmerie,dont une trentaine d'agents des forces de l'ordre. "Démission", "Voleurs","nous ne cèderons pas", c'est ce que scandaientles manifestants vendredi 10 août au soir dans lesrues de Bucarest. Parmi eux, denombreux Roumains partis travailler àl'étranger, mais revenus dénoncer "la corruptionet le détournement de fonds au profitdes gouvernants". Parmi ces dirigeants trèscritiqués se trouve Liviu Dragnea.
Le chef du Parti social-démocrate dirige de facto legouvernement, mais ne peut être Premierministre en raison d'une condamnation pourfraude électorale. Il a aussi été condamné àde la prison ferme pour abus de pouvoir etfait l'objet d'une enquête pour détournement de fonds européens.Son parti tente clairement de mettre fin à lacampagne anticorruption lancée au début desannées 2000 : en juin dernier,le gouvernementa obtenu le départ de la cheffe duParquet anticorruption et les députés ontvoté un nouveau code pénal, malgré les craintes exprimées par plusieurs pays occidentaux. En février 2017, 500.000 Roumains étaient déjà descendus dans les rues pour dénoncer la réforme de la justice.
Les manifestants ont reçu le soutien du président de centre-droit Klaus Iohannis, qui est en conflit ouvert avec legouvernement socialdémocratedirigé par Sorin Cîmpeanu et a, à partir de sapage facebook, "fermementcondamné l'intervention brutale de la gendarmerie", à coup de lacrymogènes et de canons à eaux.
Les gendarmes sont intervenus, à coupde canons à eau et de gaz lacrymogène.Résultat : plus de 450 blessés, selon la gendarmerie,dont une trentaine d'agents des forces de l'ordre. "Démission", "Voleurs","nous ne cèderons pas", c'est ce que scandaientles manifestants vendredi 10 août au soir dans lesrues de Bucarest. Parmi eux, denombreux Roumains partis travailler àl'étranger, mais revenus dénoncer "la corruptionet le détournement de fonds au profitdes gouvernants". Parmi ces dirigeants trèscritiqués se trouve Liviu Dragnea.
Le chef du Parti social-démocrate dirige de facto legouvernement, mais ne peut être Premierministre en raison d'une condamnation pourfraude électorale. Il a aussi été condamné àde la prison ferme pour abus de pouvoir etfait l'objet d'une enquête pour détournement de fonds européens.Son parti tente clairement de mettre fin à lacampagne anticorruption lancée au début desannées 2000 : en juin dernier,le gouvernementa obtenu le départ de la cheffe duParquet anticorruption et les députés ontvoté un nouveau code pénal, malgré les craintes exprimées par plusieurs pays occidentaux. En février 2017, 500.000 Roumains étaient déjà descendus dans les rues pour dénoncer la réforme de la justice.
Les manifestants ont reçu le soutien du président de centre-droit Klaus Iohannis, qui est en conflit ouvert avec legouvernement socialdémocratedirigé par Sorin Cîmpeanu et a, à partir de sapage facebook, "fermementcondamné l'intervention brutale de la gendarmerie", à coup de lacrymogènes et de canons à eaux.
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