Algérie

La plus grande raffinerie aux mains des djihadistes



La plus grande raffinerie aux mains des djihadistes
Objectif ultime pour les djihadistes, cette raffinerie, la plus grande du pays était exploitée par North Refineries Company, une compagnie d'Etat...Objectif ultime pour les djihadistes, cette raffinerie, la plus grande du pays était exploitée par North Refineries Company, une compagnie d'Etat...Les insurgés ont lancé l'assaut à l'aube. C'est la deuxième fois qu'ils attaquent cette raffinerie, encerclée par des soldats irakiens. De violents combats ont opposé les radicaux sunnites et l'armée du Premier ministre irakien chiite, Nouri Al Maliki. Les soldats étaient appuyés par l'aviation qui a mené des frappes sur Baïji, un responsable accusant les insurgés « de se cacher dans les maisons des quartiers résidentiels ». La télévision officielle a parlé de 19 terroristes tués.D'autres villes de la province d'Al Anbar sous le contrôle des insurgés, à l'image de Haditha, ont elles aussi été les cibles de frappes aériennes de l'armée irakienne. Plus tard dans la matinée, les rebelles, dirigés par le groupuscule de l'Etat islamique en Irak et au Levant, ont affirmé avoir pris le contrôle de ce secteur situé à 200 kilomètres de Baghdad. L'or noir attise en effet les convoitises.Objectif ultime pour les jihadistes, cette raffinerie, la plus grande du pays était exploitée par North Refineries Company, une compagnie d'Etat. L'oeil toujours rivé sur l'Irak, les Etats- Unis continuent de s'impliquer. Le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, est en visite dans la région depuis plusieurs jours.Après avoir affiché son soutien « intensif » à Baghdad lundi, John Kerry est arrivé au Kurdistan irakien, région autonome du nord du pays. « Comme tout le monde le sait, il s'agit d'un moment très critique pour l'Irak, et la formation d'un gouvernement est notre principal défi », a affirmé John Kerry devant le président kurde. John Kerry, pour qui l'offensive djihadiste représente une « menace existentielle » pour l'Irak, a promis un soutien plus « efficace » si les forces politiques oeuvrent pour l'unité du pays. Après l'Irak, John Kerry doit se rendre à Bruxelles pour une réunion de l'Otan, puis à Paris.La région autonome du Kurdistan irakien, protégée par quelque 100.000 combattants kurdes, est pour l'heure épargnée par les combats. Elle fait cependant face à un afflux massif de réfugiés irakiens, venus des provinces du nord et de l'ouest, qui tentent de fuir les affrontements entre armée irakienne et insurgés rebelles. Depuis le 10 juin dernier, les combattants du groupe radical sunnite l'Etat islamique en Irak et au Levant, mènent une offensive fulgurante en Irak. Les insurgés ont été rejoints par d'autres sunnites, excédés par la politique, jugée trop pro-chiite, du Premier ministre Nouri Al Maliki.Les insurgés ont lancé l'assaut à l'aube. C'est la deuxième fois qu'ils attaquent cette raffinerie, encerclée par des soldats irakiens. De violents combats ont opposé les radicaux sunnites et l'armée du Premier ministre irakien chiite, Nouri Al Maliki. Les soldats étaient appuyés par l'aviation qui a mené des frappes sur Baïji, un responsable accusant les insurgés « de se cacher dans les maisons des quartiers résidentiels ». La télévision officielle a parlé de 19 terroristes tués.D'autres villes de la province d'Al Anbar sous le contrôle des insurgés, à l'image de Haditha, ont elles aussi été les cibles de frappes aériennes de l'armée irakienne. Plus tard dans la matinée, les rebelles, dirigés par le groupuscule de l'Etat islamique en Irak et au Levant, ont affirmé avoir pris le contrôle de ce secteur situé à 200 kilomètres de Baghdad. L'or noir attise en effet les convoitises.Objectif ultime pour les jihadistes, cette raffinerie, la plus grande du pays était exploitée par North Refineries Company, une compagnie d'Etat. L'oeil toujours rivé sur l'Irak, les Etats- Unis continuent de s'impliquer. Le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, est en visite dans la région depuis plusieurs jours.Après avoir affiché son soutien « intensif » à Baghdad lundi, John Kerry est arrivé au Kurdistan irakien, région autonome du nord du pays. « Comme tout le monde le sait, il s'agit d'un moment très critique pour l'Irak, et la formation d'un gouvernement est notre principal défi », a affirmé John Kerry devant le président kurde. John Kerry, pour qui l'offensive djihadiste représente une « menace existentielle » pour l'Irak, a promis un soutien plus « efficace » si les forces politiques oeuvrent pour l'unité du pays. Après l'Irak, John Kerry doit se rendre à Bruxelles pour une réunion de l'Otan, puis à Paris.La région autonome du Kurdistan irakien, protégée par quelque 100.000 combattants kurdes, est pour l'heure épargnée par les combats. Elle fait cependant face à un afflux massif de réfugiés irakiens, venus des provinces du nord et de l'ouest, qui tentent de fuir les affrontements entre armée irakienne et insurgés rebelles. Depuis le 10 juin dernier, les combattants du groupe radical sunnite l'Etat islamique en Irak et au Levant, mènent une offensive fulgurante en Irak. Les insurgés ont été rejoints par d'autres sunnites, excédés par la politique, jugée trop pro-chiite, du Premier ministre Nouri Al Maliki.




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