Azul Felawen, Réflexion :
Il était une fois, une pensée, dont la souffrance creuse les tranchés dans sa mémoire,
De voir tout ce qu’elle aime, se détruit et souffre, tout cela a cause d’un tableau noir,
Lequel occulte un récit, d’une voix sourde opprimée qui ose exprimer, cela est un devoir.
La pauvre pensée ne sais que faire de voir son avenir d’être toujours en retard
Elle ne peut juger le corps portent l'armure ce changement qu’il le rendit hagard
N’est accusé le cœur, comme le créateur de ce comportement incompris est bizarre,
Elle cherche la lumière pour essayer de voir dans ce grand trou noir
Rien ne va tout s’en va, la haine approfondit les cicatrices pour tuer l’espoir
Comme une malédiction qui nous suis tel une l’ombre de notre reflet dans un miroir
La pauvre plume épuisée a accablée, désemparée de voir le présent fuir la morale
La conscience perd les repères de pas pouvoir riens faire de sortit de cette grande spirale
La plume ne sait que faire de cette descente vers l’enfer, qui est devenu un symbole, un idéal
Soudain elle se rempli d’encre, elle glisse sur la page blanche au chaque mot est capital
Elle fait trembler le venin de ce mal qui creuse dans la conscience jusque à effacé ses initiales
Elle donne l’espoir aux lettres d’unir tous les êtres qu’aimer être aimé cella devra être cruciale.
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Posté Le : 14/02/2018
Posté par : Mokraneaitlounes
Ecrit par : mokrane ait lounes
Source : La plume de l’espoir