Contrairement aux prêts extérieurs, le recours à la planche à billets semble s'imposer comme une solution ne compromettant pas notre souveraineté. Mais tout dépendra de l'utilisation de l'argent imprimé qui doit aller exclusivement à la création de richesses nouvelles. Autrement, il s'évaporera rapidement dans ce véritable tonneau des Danaïdes qu'est le financement des opérations hors secteur productif.C'est comme prêter de l'argent à un parieur fou. Tout ce dont on est sûr, c'est qu'il reviendra bientôt. Il peut, par miracle, vous rembourser une fois. Mais c'est pour revenir cent fois vous réclamer de l'argent qu'il ne pourra plus rembourser !
M. F.
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Posté Le : 05/07/2021
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Maâmar Farah
Source : www.lesoirdalgerie.com