"La permanence doit être respectée"Appel de la Fédération des consommateurs aux commerçants

La Fédération nationale des consommateurs appelle à respecter la permanence des commerces durant la fête de l'Aïd el-Adha. Dans un communiqué, la Fédération exhorte "les prestataires et commerçants à être au service des consommateurs en assurant un service minimum".La Fédération nationale des consommateurs appelle à respecter la permanence des commerces durant la fête de l'Aïd el-Adha. Dans un communiqué, la Fédération exhorte "les prestataires et commerçants à être au service des consommateurs en assurant un service minimum".
Cette préoccupation vient du fait que les commerçants décident, à l'unanimité, de fermer boutique sans s'inquiéter du sort des familles qui ont besoin de s'approvisionner en denrées alimentaires. Vu la situation qui a, en effet, paralysé le pays durant les deux jours de fêtes, la FAC à l'instar de l'UGCAA fait appel à la vigilance des commerçants pour éviter une décision qui peut gravement nuire aux commerçants et aux ménages.
Aussi, les pouvoirs publics, par le biais du ministère du Commerce, tentent de sévir par des sanctions à l'encontre de ceux qui n'observent pas leurs permanences. Un préjudice, rappelle-t-on, qui a causé un tort lors de la fête de l'Aïd el-Fitr. Les villes sont devenus fantômes à tel point que se procurer du lait ou du pain relevait du parcours du combattant. Les pouvoirs publics avaient d'ailleurs mollement réagi sur une situation qui récidive à chaque fois. Cette fois, il semble que "le bâton" devrait être brandi envers les récalcitrants.
On prévoit, selon le ministère du Commerce, des amendes et des fermetures pour un mois envers tout commerçant désigné pour tenir la permanence durant la période de fêtes. De plus, l'UGCAA est censée choisir les prestataires en fonction de l'importance du territoire urbain et du nombre d'habitants afin de mieux organiser ces permanences et d'éviter le recours à ces sanctions.
Rappelons également que les brigades de la Direction de la concurrence et des prix, relevant du ministère du Commerce, ont eu l'aval pour inspecter les espaces où se tiennent les commerces afin de veiller au respect de la réglementation sur la permanence des commerces.
Cette préoccupation vient du fait que les commerçants décident, à l'unanimité, de fermer boutique sans s'inquiéter du sort des familles qui ont besoin de s'approvisionner en denrées alimentaires. Vu la situation qui a, en effet, paralysé le pays durant les deux jours de fêtes, la FAC à l'instar de l'UGCAA fait appel à la vigilance des commerçants pour éviter une décision qui peut gravement nuire aux commerçants et aux ménages.
Aussi, les pouvoirs publics, par le biais du ministère du Commerce, tentent de sévir par des sanctions à l'encontre de ceux qui n'observent pas leurs permanences. Un préjudice, rappelle-t-on, qui a causé un tort lors de la fête de l'Aïd el-Fitr. Les villes sont devenus fantômes à tel point que se procurer du lait ou du pain relevait du parcours du combattant. Les pouvoirs publics avaient d'ailleurs mollement réagi sur une situation qui récidive à chaque fois. Cette fois, il semble que "le bâton" devrait être brandi envers les récalcitrants.
On prévoit, selon le ministère du Commerce, des amendes et des fermetures pour un mois envers tout commerçant désigné pour tenir la permanence durant la période de fêtes. De plus, l'UGCAA est censée choisir les prestataires en fonction de l'importance du territoire urbain et du nombre d'habitants afin de mieux organiser ces permanences et d'éviter le recours à ces sanctions.
Rappelons également que les brigades de la Direction de la concurrence et des prix, relevant du ministère du Commerce, ont eu l'aval pour inspecter les espaces où se tiennent les commerces afin de veiller au respect de la réglementation sur la permanence des commerces.