Algérie

La pénurie persiste



Lancée le 3 novembre dernier, la campagne de vaccination contre la grippesaisonnière a suscité un engouementinédit. En effet, plus encore que lesannées passées, l'arrivée de la grippesaisonnière est prise très au sérieux.Lancée le 3 novembre dernier, la campagne de vaccination contre la grippesaisonnière a suscité un engouementinédit. En effet, plus encore que lesannées passées, l'arrivée de la grippesaisonnière est prise très au sérieux.
L'enjeu est de taille car les symptômesde l'infection au nouveau coronavirusqui a déjà causé des milliers de morts, sont similaires à ceux de la grippe saisonnière.Il risque donc d'y avoir cet hiver une"co-circulation" du virus grippal et ducoronavirus, ont prévenu les autoritéssanitaires, qui souhaitent éviter unafflux de patients. Le système de santéétant déjà proche de la saturation.Pour ce, rappelons-le, que depuis lafin de l'été, les médecins et les professionnels ne cessent de multiplier les déclarations sur l'importance particulièrede cette vaccination.
D'ailleurs, un dispositif de communicationde grande envergure a été lancépar la tutelle pour encourager toutes les personnes à risque à se faire vacciner.Malheureusement, la réalité esttout autre.Trois semaines après le lancement dela campagne, rien ne va plus. La tension sur le vaccin antigrippals'accentue de jour en jour, que ce soit en pharmacie ou au sein des établissements de santé de proximité. Alorsque le gouvernement ne cesse d'assurer la disponibilité du vaccin etqu'il n'y aura pas de pénurie. Une virée dans certaines pharmacies nous avraiment renseignés sur la réalité du terrain. Le constat est désolant ! Il y a effectivement une vive tension sur ce vaccin, devenu denrée rare, alors qu'ilest recommandé pour les maladeschroniques, les personnes âgées et lesfemmes enceintes.Et de s'interroger sur l'origine de cette indisponibilité, en plus du problèmede son remboursement qui n'est pas encore tranché par la Cnas.Pour les pharmaciens, les quantités devaccin antigrippal distribuées sont insuffisantes et les commandes ont étéréduites de moitié, voire plus.Du côté des distributeurs de médicaments, on signale également uneréduction drastique du nombre de doseslivrées par l'Institut Pasteur d'Algérie.
Au ministère de la Santé, on déclarequ'on ne peut pas dire qu'il y a tensionou pénurie de vaccin."Un million de doses, sur les quantitésimportées à ce jour par l'IPA surl'ensemble de la commande maximalede 1,8 million de doses, a été distribuédans les structures de santé publiqueset une autre quantité est livrée auxofficines. La dernière tranche de lacommande sera incessamment livréepar le fournisseur", signale-t-on.Concernant le remboursement du vaccin,une source affirme que "le dossiera été soumis au comité de remboursementintersectoriel au ministère duTravail et de la Sécurité sociale audébut du mois de novembre. L'arrêtéministériel est en cours de signature au niveau du secrétariat général dugouvernement. Sa publication est prévuedans les prochains jours", préciset-on.
L'enjeu est de taille car les symptômesde l'infection au nouveau coronavirusqui a déjà causé des milliers de morts, sont similaires à ceux de la grippe saisonnière.Il risque donc d'y avoir cet hiver une"co-circulation" du virus grippal et ducoronavirus, ont prévenu les autoritéssanitaires, qui souhaitent éviter unafflux de patients. Le système de santéétant déjà proche de la saturation.Pour ce, rappelons-le, que depuis lafin de l'été, les médecins et les professionnels ne cessent de multiplier les déclarations sur l'importance particulièrede cette vaccination.
D'ailleurs, un dispositif de communicationde grande envergure a été lancépar la tutelle pour encourager toutes les personnes à risque à se faire vacciner.Malheureusement, la réalité esttout autre.Trois semaines après le lancement dela campagne, rien ne va plus. La tension sur le vaccin antigrippals'accentue de jour en jour, que ce soit en pharmacie ou au sein des établissements de santé de proximité. Alorsque le gouvernement ne cesse d'assurer la disponibilité du vaccin etqu'il n'y aura pas de pénurie. Une virée dans certaines pharmacies nous avraiment renseignés sur la réalité du terrain. Le constat est désolant ! Il y a effectivement une vive tension sur ce vaccin, devenu denrée rare, alors qu'ilest recommandé pour les maladeschroniques, les personnes âgées et lesfemmes enceintes.Et de s'interroger sur l'origine de cette indisponibilité, en plus du problèmede son remboursement qui n'est pas encore tranché par la Cnas.Pour les pharmaciens, les quantités devaccin antigrippal distribuées sont insuffisantes et les commandes ont étéréduites de moitié, voire plus.Du côté des distributeurs de médicaments, on signale également uneréduction drastique du nombre de doseslivrées par l'Institut Pasteur d'Algérie.
Au ministère de la Santé, on déclarequ'on ne peut pas dire qu'il y a tensionou pénurie de vaccin."Un million de doses, sur les quantitésimportées à ce jour par l'IPA surl'ensemble de la commande maximalede 1,8 million de doses, a été distribuédans les structures de santé publiqueset une autre quantité est livrée auxofficines. La dernière tranche de lacommande sera incessamment livréepar le fournisseur", signale-t-on.Concernant le remboursement du vaccin,une source affirme que "le dossiera été soumis au comité de remboursementintersectoriel au ministère duTravail et de la Sécurité sociale audébut du mois de novembre. L'arrêtéministériel est en cours de signature au niveau du secrétariat général dugouvernement. Sa publication est prévuedans les prochains jours", préciset-on.


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