Ces dernières semaines, une rareté du lait en sachet est constatée dans plusieurs wilayas. Des files se constituent pour « arracher » les sachets de lait qui ont du mal à être distribués. Le problème de l'approvisionnement se pose toujours.Ces dernières semaines, une rareté du lait en sachet est constatée dans plusieurs wilayas. Des files se constituent pour « arracher » les sachets de lait qui ont du mal à être distribués. Le problème de l'approvisionnement se pose toujours.A Alger, Blida, Guelma, Oran et d'autres localités, le problème de l'approvisionnement du lait en sachet se pose avec acuité. Dans la capitale, des files se constituent dès 7 heures du matin pour s'en procurer. Mais de l'aveu de plusieurs citoyens « les livraisons se font parfois tard et après 9 heures du matin, il n'y a plus de lait ».Les magasins et épiceries sont pris d'assaut le matin avec 2 ou 3 sachets à vendre seulement car on déplore que « les camions ne servent pas plus de 4 bacs pleins ». Comme c'est le cas dans certaines wilayas qui se plaignent depuis novembre dernier d'une « pénurie de lait en sachet et parfois même en lait de vache conditionné». Ce dernier est écoulé à raison de 60 DA l'unité.La crise qui perdure malgré l'assurance des pouvoirs publics sur la disponibilité du produit, est accentuée par la rareté et la hausse des prix sur un lait subventionné par l'Etat. Nous avons constaté de visu que la plupart des magasins profitent pour écouler le sachet de lait à 35 DA. Dans certaines localités périphériques, le lait en sachet n'est carrément pas disponible. Ce qui se traduit par le recours au lait conditionné par certaines marques cédé entre 95 et 100 DA. Ce qui n'arrange guère les petites bourses.En matière de prix, les détaillants donnent une explication pas du tout convaincante en s'accordant sur « une hausse de prix dictée par l'Etat et les producteurs ». A cet effet, les consommateurs dénoncent une pratique frauduleuse sur des prix en les augmentant illégalement. A aucun moment, le lait en sachet n'a été concerné par une augmentation officielle de son prix.D'autres épiciers prétextent que ce sont les producteurs privés qui dictent les tarifs. Le ministre du Commerce avait martelé que « le prix du lait en sachet reste inchangé à 25 DA » puisque ce dernier est soutenu en matières premières (poudre de lait) et l'emballage par l'Etat. En matière d'approvisionnement, l'Office national interprofessionnel du lait (ONIL) a mis en exergue que « la crise est temporaire » et que dés le début de l'année 2017,il y aura un engagement en faveur de plus de production étant donnée que la poudre du lait sera affectée à tous les producteurs qu'ils soient publics ou privés. Or, jusqu'à maintenant les producteurs et ceux qui ont investi dans les laiteries ne comprennent pas pourquoi le tarif de la subvention ne les concerne pas. Une situation qui va encore peser sur le devenir de cette filière que d'aucuns ont cru qu'elle était résolue.A Alger, Blida, Guelma, Oran et d'autres localités, le problème de l'approvisionnement du lait en sachet se pose avec acuité. Dans la capitale, des files se constituent dès 7 heures du matin pour s'en procurer. Mais de l'aveu de plusieurs citoyens « les livraisons se font parfois tard et après 9 heures du matin, il n'y a plus de lait ».Les magasins et épiceries sont pris d'assaut le matin avec 2 ou 3 sachets à vendre seulement car on déplore que « les camions ne servent pas plus de 4 bacs pleins ». Comme c'est le cas dans certaines wilayas qui se plaignent depuis novembre dernier d'une « pénurie de lait en sachet et parfois même en lait de vache conditionné». Ce dernier est écoulé à raison de 60 DA l'unité.La crise qui perdure malgré l'assurance des pouvoirs publics sur la disponibilité du produit, est accentuée par la rareté et la hausse des prix sur un lait subventionné par l'Etat. Nous avons constaté de visu que la plupart des magasins profitent pour écouler le sachet de lait à 35 DA. Dans certaines localités périphériques, le lait en sachet n'est carrément pas disponible. Ce qui se traduit par le recours au lait conditionné par certaines marques cédé entre 95 et 100 DA. Ce qui n'arrange guère les petites bourses.En matière de prix, les détaillants donnent une explication pas du tout convaincante en s'accordant sur « une hausse de prix dictée par l'Etat et les producteurs ». A cet effet, les consommateurs dénoncent une pratique frauduleuse sur des prix en les augmentant illégalement. A aucun moment, le lait en sachet n'a été concerné par une augmentation officielle de son prix.D'autres épiciers prétextent que ce sont les producteurs privés qui dictent les tarifs. Le ministre du Commerce avait martelé que « le prix du lait en sachet reste inchangé à 25 DA » puisque ce dernier est soutenu en matières premières (poudre de lait) et l'emballage par l'Etat. En matière d'approvisionnement, l'Office national interprofessionnel du lait (ONIL) a mis en exergue que « la crise est temporaire » et que dés le début de l'année 2017,il y aura un engagement en faveur de plus de production étant donnée que la poudre du lait sera affectée à tous les producteurs qu'ils soient publics ou privés. Or, jusqu'à maintenant les producteurs et ceux qui ont investi dans les laiteries ne comprennent pas pourquoi le tarif de la subvention ne les concerne pas. Une situation qui va encore peser sur le devenir de cette filière que d'aucuns ont cru qu'elle était résolue.
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Posté Le : 17/01/2017
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : FAYÇAL ABDELGHANI
Source : www.lemidi-dz.com