Algérie

La nouvelle centrale des risques opérationnelle pour la mi-septembre



La nouvelle centrale des risques opérationnelle pour la mi-septembre
L'entrée en service de la nouvelle centrale des risques de la Banque d'Algérie est prévue pour la mi-septembre 2015, permettant ainsi de contribuer à la relance du crédit à la consommation, a annoncé hier le gouverneur de la Banque centrale algérienne, Mohamed Laksaci.L'entrée en service de la nouvelle centrale des risques de la Banque d'Algérie est prévue pour la mi-septembre 2015, permettant ainsi de contribuer à la relance du crédit à la consommation, a annoncé hier le gouverneur de la Banque centrale algérienne, Mohamed Laksaci."L'entrée en production de la nouvelle centrale des risques de la Banque d'Algérie est prévue pour la mi-septembre 2015", a indiqué M. Laksaci lors de la présentation des principales tendances financières et monétaires durant le premier semestre 2015. La nouvelle centrale des risques qui constituera "un important outil d'aide à la gestion des risques de crédits" par les banques de la place, contribuera aussi "à la reprise effective du crédit à la consommation", a affirmé M. Laksaci.Le retour du crédit à la consommation avait été décidé par la Tripartie de février 2014 (gouvernement-UGTA-patronat) après avoir été suspendu en 2009 pour ne pas alourdir la facture des importations et encourager la production nationale. Le crédit à la consommation aux ménages, dont les conditions et les modalités ont été fixées en vertu d'un décret exécutif publié au Journal officiel en mai dernier, concerne les biens fabriqués par des entreprises exerçant une activité de production ou de service sur le territoire national et qui produisent ou assemblent des biens destinés à la vente aux particuliers.Ces entreprises qui doivent être, précise le texte, en règle avec les impôts et les organismes de sécurité sociale, doivent être bancarisées et vendre avec factures. Le taux d'intégration des biens qui pourront être acquis grâce à un crédit à la consommation doivent être fixés par arrêté ministériel. Les réserves de change de l'Algérie ont poursuivi leur tendance baissière pour s'établir à 159,027 milliards de dollars à fin juin 2015 contre 178,938 milliards de dollars à fin décembre 2014, avait annoncé le gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohamed Laksaci.A fin juin 2014, les réserves de changes étaient de l'ordre de 193,269 milliards de dollars. Cela indique "une forte contraction" des réserves officielles de changes entre fin juin 2014 et fin juin 2015 et qui se sont contractées de 34,242 milliards de dollars en raison de "l'impact du choc externe sur la balance des paiements extérieurs de l'Algérie depuis le quatrième trimestre 2014", a indiqué M. Laksaci lors de la présentation des tendances financières et monétaires de l'Algérie au premier semestre 2015.Cependant, le niveau des réserves de change "reste adéquat pour faire face au choc externe en situation de très faible dette extérieure située à 3,353 milliards de dollars à fin juin 2015", a souligné le gouverneur de la Banque centrale. Il est à rappeler qu'en juin dernier le gouverneur de la Banque d'Algérie, avait dévoilé les grands axes d'un nouveau schéma de financement de la croissance économique dans un contexte de contraction des ressources financières, due à la baisse des prix de pétrole.Dans son exposé sur "la stabilité macroéconomique en Algérie et le financement bancaire de la croissance", présenté devant les P-dg des banques et établissements financiers activant en Algérie, le gouverneur de la Banque centrale a précisé que ce nouveau dispositif avait été rendu impératif dans la perspective d'atteindre un taux de croissance de 7% à l'horizon 2019 tel que fixé par le gouvernement. Cette "feuille de route", qui sera enrichie au fur et à mesure des nouvelles données et avec la collaboration des banques, tient compte des retombées du choc externe dû à la baisse drastique des cours de pétrole et doit tirer profit des ressources financières accumulées jusqu'ici, a résumé Laksaci."L'entrée en production de la nouvelle centrale des risques de la Banque d'Algérie est prévue pour la mi-septembre 2015", a indiqué M. Laksaci lors de la présentation des principales tendances financières et monétaires durant le premier semestre 2015. La nouvelle centrale des risques qui constituera "un important outil d'aide à la gestion des risques de crédits" par les banques de la place, contribuera aussi "à la reprise effective du crédit à la consommation", a affirmé M. Laksaci.Le retour du crédit à la consommation avait été décidé par la Tripartie de février 2014 (gouvernement-UGTA-patronat) après avoir été suspendu en 2009 pour ne pas alourdir la facture des importations et encourager la production nationale. Le crédit à la consommation aux ménages, dont les conditions et les modalités ont été fixées en vertu d'un décret exécutif publié au Journal officiel en mai dernier, concerne les biens fabriqués par des entreprises exerçant une activité de production ou de service sur le territoire national et qui produisent ou assemblent des biens destinés à la vente aux particuliers.Ces entreprises qui doivent être, précise le texte, en règle avec les impôts et les organismes de sécurité sociale, doivent être bancarisées et vendre avec factures. Le taux d'intégration des biens qui pourront être acquis grâce à un crédit à la consommation doivent être fixés par arrêté ministériel. Les réserves de change de l'Algérie ont poursuivi leur tendance baissière pour s'établir à 159,027 milliards de dollars à fin juin 2015 contre 178,938 milliards de dollars à fin décembre 2014, avait annoncé le gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohamed Laksaci.A fin juin 2014, les réserves de changes étaient de l'ordre de 193,269 milliards de dollars. Cela indique "une forte contraction" des réserves officielles de changes entre fin juin 2014 et fin juin 2015 et qui se sont contractées de 34,242 milliards de dollars en raison de "l'impact du choc externe sur la balance des paiements extérieurs de l'Algérie depuis le quatrième trimestre 2014", a indiqué M. Laksaci lors de la présentation des tendances financières et monétaires de l'Algérie au premier semestre 2015.Cependant, le niveau des réserves de change "reste adéquat pour faire face au choc externe en situation de très faible dette extérieure située à 3,353 milliards de dollars à fin juin 2015", a souligné le gouverneur de la Banque centrale. Il est à rappeler qu'en juin dernier le gouverneur de la Banque d'Algérie, avait dévoilé les grands axes d'un nouveau schéma de financement de la croissance économique dans un contexte de contraction des ressources financières, due à la baisse des prix de pétrole.Dans son exposé sur "la stabilité macroéconomique en Algérie et le financement bancaire de la croissance", présenté devant les P-dg des banques et établissements financiers activant en Algérie, le gouverneur de la Banque centrale a précisé que ce nouveau dispositif avait été rendu impératif dans la perspective d'atteindre un taux de croissance de 7% à l'horizon 2019 tel que fixé par le gouvernement. Cette "feuille de route", qui sera enrichie au fur et à mesure des nouvelles données et avec la collaboration des banques, tient compte des retombées du choc externe dû à la baisse drastique des cours de pétrole et doit tirer profit des ressources financières accumulées jusqu'ici, a résumé Laksaci.




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