Algérie

La loi, le riche et le pauvre



D'un seul coup, le marché des transferts s'est emballé. Avec bien sûr, comme toujours, les clubs nantis comme premiers clients-animateurs du mercato. Les premières tendances ne laissent aucun doute sur ce que sera celui-ci, c'est-à-dire inflationniste.C'est le propre d'un football professionnel en faillite, mais toujours en activité. Une spécificité algérienne encouragée par les instances du football qui font peu de cas de la situation financière catastrophique des clubs et les encouragent à persévérer dans cette voie sans issue. La preuve, au lieu de les rappeler à leurs obligations et au respect des règles du professionnalisme en matière de finances, la fédération s'est précipitée lors du dernier Bureau fédéral à prononcer un des huit points des dispositions règlementaires, à savoir la première période d'enregistrement (transferts) de la saison. Son seul souci s'est résumé à informer les clubs pros des dates d'ouverture et de fermeture du premier mercato.
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