Le rendement en arabe, en tant que langue première et langue d’arrivée chez les apprentis-traducteurs, au niveau de l’expression orale et /ou écrite, ne semble pas être à la hauteur des définitions et présupposés théoriques qui confèrent à cette langue le statut de langue de référence. Derrière cette situation défaillante se cachent des facteurs multiples qui ont accompagné les apprenants tout au long du processus d’apprentissage, avant même d’accéder au cycle universitaire, et qui ont contribué à un échec quasi-total à proportions alarmantes.Nous nous proposons, dans le présent article, de revenir sur ces facteurs d’échec, pour les définir et dévoiler l’impact de leur intervention dans l’acte de l’appropriation de l’arabe par les apprenants algériens, représentés, ici, par ceux en formation à la spécialité de traduction.
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Posté Le : 13/09/2021
Posté par : einstein
Ecrit par : - Lahlou Hassina
Source : Revue Algérienne des Sciences du Langage Volume 1, Numéro 1, Pages 74-81