Algérie

La JSK d'hier et d'aujourd'hui...



La JSK d'hier et d'aujourd'hui...
Elle pourrait être l'exemple d'une belle leçon sportive. Feuiller le répertoire de ce grand club du Djurdjura, s'est vite être frappé par la qualité de ses empreintes, entendre par là les empreintes de ceux qui ont façonné, et surtout travaillé son moule pour que les générations qui arriveraient puissent y faire le pas et aller dans le même sens. Mais aujourd'hui, il faudrait chercher ses empreintes laissées par les Amar Haouchine, Driss Kolli, Rabah Meguelti, Mouloud Iboud et bien d'autres.Des pages ont été écrites «Dans les années 1920, où les jeunes Kabyles qui s'adonnaient à la pratique du football dans les rues de la ville de Tizi-Ouzou, avaient organisés un mini-championnat inter-quartier sous la houlette d'Ahmed Astouati. Chaque quartier de la ville haute (la ville indigène, taddert oufella ou tribu) avait son équipe, participait à ce tournoi, les jeunes des quartiers d'Aïn Hallouf, Tazegourt, Ihammoutène, Zellal et Tabnahlit. C'est de ces quartiers que sortira un groupe de jeunes qui aspirait à la création d'un club de football différent de l'Olympique de Tizi-Ouzou, club colon de la ville. Ces jeunes formèrent une sélection de quartier composée des frères Mesbahi Saïd et Ramdane, des frères Rafaï Mohamed et Hocine, Harchaoui Omar, Zemirli Saïd, Souibes Rabah, Loukab Mohamed, Mekacher Amar, Boussad Ouamar, Mammar Mohamed, des cousins Hammoutène Abderezak et Mohamed, Belhadj Khelifa, Chabaraka Ahmed, Assas Hocine, regroupés autour de leur doyen Chikhaoui Mohamed Seghir alors âgé de vingt ans, pour créer une société sportive afin de participer à un championnat officiel». Voilà une belle histoire à raconter afin que soit évité l'oubli de ces belles empreintes : Aujourd'hui, une nouvelle équipe est mise en place, dont Ait Djoudi y figure. «Je ne sais pas si j'ai le droit de coacher l'équipe demain.» C'est ce qu'il déclara, ce week-end dans un journal sportif, en l'occurrence Compétition. A cette question le président de la LFP a répondu : «Oui, Ait Djoudi est un grand Monsieur, connu de tous pour ses qualités et son sérieux. Oui, nous l'autoriserons à coacher ce club.» Un souci en moins pour la formation de Kabylie. Il ne sera pas sur le banc cet après-midi face au club sétifien mais le patron. Hier encore, sur le plateau de la chaîne El Heddaf, un des membres du directoire de la JSK rassure ses joueurs : «Nous allons payer deux mois de salaire aux joueurs, il faudrait savoir que nous ne sommes pas encore signataires et il reste de la paperasse à faire. J'espère que nous trouverons une écoute attentive du côté de la Banque», et d'ajouter : «On s'est présentés chez le notaire et on a déposé tous les dossiers pour qu'on puisse devenir signataires. Normalement, il ne devrait pas y avoir de problèmes. Tout comme du côté du mercato où la balle est laissée a Ait Djoudi , pour le choix des meileurs joueurs, c'est à lui de régler cette question, et personne ne se mêlera de ses attributions, tout comme lui, nous sommes en train de passer au scanner tout se qui constitue un blocage pour faire redémarrer ce club dont son logo à lui seul coûte une fortune. Notre mission et de démontrer également que nous sommes venus pour traiter toute les questions en souffrances et donner du goût aux supporters afin qu'ils reviennent en force pour animer les gradins et donc supporter leur équipe. Nous espérons arriver à faire retrouver cette confiance.» Il dénoncera le projet italien au passage. «Pour moi, c'est lui qui est la cause de cette situation, on aurait pu investir sur les 3.500 m2 un centre commercial, et dont le club aurait bénéficié d'un retour financier solide, le projet italien, je ne voudrai plus en entendre parler, oubliez ce projet svp, il en est la cause... Je vous dis aujourd'hui, devant vos téléspectateurs que la direction ne va pas faire n'importe quoi, tous les dossiers seront examiné et nous établirons un plan d'action qui hissera à un niveau de qualité notre club. A la question de savoir si les anciens joueurs trouveraient place au sein de la JSK : «Que ceux qui veulent mettre la main a la pâte sont les bienvenus.» Une autre question et Si Hannachi se proposerait comme président d'honneur, allez-vous dire oui ' Ce n'est pas a moi d'en décider...», pour nous c'est guider vers le professionnalisme au sens propre du terme la JSK. Jean -Yves Chay, a quitté le club, mais sans ses 600 millions de centimes, soit «300.000 X 2 mois). Une démarche de l'ancien président vite bloquée par les actionnaires. Malik Azlef, qui s'est rendu à la banque pour faire une opposition sur le chèque reçu par l'entraîneur français. Une affaire à suivre.


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