Algérie

"La Issaba a vendu l'Algérie"



Pour le candidat Ali Benflis, l'avenir des Algériens est entre leurs mains. De Annaba, où il a animé hier un meeting, le candidat à la présidentielle du 12 décembre a indiqué que "l'avenir des Algériens sera entre leurs mains le 12 décembre, à travers des élections propres et transparentes".Pour le candidat Ali Benflis, l'avenir des Algériens est entre leurs mains. De Annaba, où il a animé hier un meeting, le candidat à la présidentielle du 12 décembre a indiqué que "l'avenir des Algériens sera entre leurs mains le 12 décembre, à travers des élections propres et transparentes".
Il a indiqué qu'il ne cherche pas le fauteuil présidentiel, juste pour trôner dessus, ajoutant que les crises politiques, sociales et économiques, existent mais, il faut les résoudre en allant en masse aux urnes le 12 décembre, pour élire un président de la République. Benflis s'est par ailleurs attaqué avec virulence, à la "bande". L'Algérie , dira-til, "a été libérée par Zighout Youcef et ses compagnons, et a été vendue par la Issaba".
Pointant du doigt la situation désastreuse dans laquelle vivent les Algériens, marquée par "la misère", en s'interrogeant sur la solidarité sociale de l'Etat. "Sommes nous dans un pays musulman '", s'est il alors interrogé. A cc propos, il a mis en exergue le fléau de l'immigration clandestine qui fait ravage au sein des jeunes qui "meurent en mer", parce qu' ils ont "perdu tout espoir". Il a relevé la bizarrerie de l'emprisonnement des harraga par l'Etat, en estimant que "c'est un procédé colonialiste", en plaidant pour une vie dans la dignité pour les Algériens.
Il a indiqué qu'il ne cherche pas le fauteuil présidentiel, juste pour trôner dessus, ajoutant que les crises politiques, sociales et économiques, existent mais, il faut les résoudre en allant en masse aux urnes le 12 décembre, pour élire un président de la République. Benflis s'est par ailleurs attaqué avec virulence, à la "bande". L'Algérie , dira-til, "a été libérée par Zighout Youcef et ses compagnons, et a été vendue par la Issaba".
Pointant du doigt la situation désastreuse dans laquelle vivent les Algériens, marquée par "la misère", en s'interrogeant sur la solidarité sociale de l'Etat. "Sommes nous dans un pays musulman '", s'est il alors interrogé. A cc propos, il a mis en exergue le fléau de l'immigration clandestine qui fait ravage au sein des jeunes qui "meurent en mer", parce qu' ils ont "perdu tout espoir". Il a relevé la bizarrerie de l'emprisonnement des harraga par l'Etat, en estimant que "c'est un procédé colonialiste", en plaidant pour une vie dans la dignité pour les Algériens.


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