La grande bataille électorale annoncée

Le staff électoral du président candidat prépare sa grande bataille. Meetings, campagne médiatique et déplacements à l'étranger sont prévus pour mettre les bouchées doubles pour le prochain scrutin.Le staff électoral du président candidat prépare sa grande bataille. Meetings, campagne médiatique et déplacements à l'étranger sont prévus pour mettre les bouchées doubles pour le prochain scrutin.Pour commencer la première phase, la tenue aujourd'hui d'un meeting à la coupole d'Alger où sont prévus 12.000 invités selon les sources de la direction de la campagne. Ce premier rendez-vous sera un test d'importance ou une sorte de baromètre pour mesurer le taux de fidélité envers le président candidat. C'est la loi du nombre qui compte selon les spécialistes du marketing politique. Fort de ses soutiens politiques qui occupent en même temps, des portefeuilles ministériels d'envergure et qui vont jouer à fond la carte de fédérer les milliers de sympathisants à ce conclave.Le staff qui voit arriver les personnalités les plus marquantes du règne de Bouteflika à l'instar de Belkhadem et Ouyahia qui se sont vus confier des postes de hauts responsables à la présidence de la République est l'autre atout pour le président candidat. L'un des objectifs majeurs de ce début de campagne est de faire en sorte que les anti-Bouteflika soient acculés et amputés sur le plan communicationnel afin de faire diminuer l'ampleur de l'opposition à un 4e mandat.Mais pour réussir, tous les coups sont permis et tous les moyens seront mis à la disposition du président candidat. Pour la levée de fonds, des hommes d'affaires illustres se mettent dans la contribution financière. Malgré certains dissidents du FCE qui ont refusé le 4e mandat, les autres à leur tête le président de cette organisation ont cautionné leur soutien indéfectible. L'aide financière est donc assurée alors que d'autres voix parlent d'utilisation des moyens de l'Etat pour les besoins électoraux.Sur un autre plan, les stratèges du staff électoral de Bouteflika vont jouer sur des thèmes qui galvanisent les masses d'électeurs en vantant les mérites du bilan du Président durant ces 15 ans. La politique de réconciliation, les montants faramineux pour les réalisations infrastructurelles, la diplomatie et la sécurité seront battus en brèche durant la campagne. Mais pour ce faire, le gouvernement qui est partie prenante dans le marketing électoral va s'efforcer de convaincre par la paix sociale et l'augmentation des salaires pour certaines catégories socio-professionnelles. Il est sûr que les forts en thème tenteront encore de séduire l'électorat qui leur est acquis.Choisir et trier parmi les jeunes, retraités, les cadres moyens et la population féminine, c'est ce à quoi devraient se résoudre les experts en communication politique. Côté médiatique, le réseau des télévisions favorables à la 4e mandature de Bouteflika vont se mettre de la partie, idem pour certains journaux qui sont favorables à la succession du président candidat. C'est dire que le battage médiatique en sa faveur est une garantie supplémentaire pour les tenants du 4e mandat.Pour commencer la première phase, la tenue aujourd'hui d'un meeting à la coupole d'Alger où sont prévus 12.000 invités selon les sources de la direction de la campagne. Ce premier rendez-vous sera un test d'importance ou une sorte de baromètre pour mesurer le taux de fidélité envers le président candidat. C'est la loi du nombre qui compte selon les spécialistes du marketing politique. Fort de ses soutiens politiques qui occupent en même temps, des portefeuilles ministériels d'envergure et qui vont jouer à fond la carte de fédérer les milliers de sympathisants à ce conclave.Le staff qui voit arriver les personnalités les plus marquantes du règne de Bouteflika à l'instar de Belkhadem et Ouyahia qui se sont vus confier des postes de hauts responsables à la présidence de la République est l'autre atout pour le président candidat. L'un des objectifs majeurs de ce début de campagne est de faire en sorte que les anti-Bouteflika soient acculés et amputés sur le plan communicationnel afin de faire diminuer l'ampleur de l'opposition à un 4e mandat.Mais pour réussir, tous les coups sont permis et tous les moyens seront mis à la disposition du président candidat. Pour la levée de fonds, des hommes d'affaires illustres se mettent dans la contribution financière. Malgré certains dissidents du FCE qui ont refusé le 4e mandat, les autres à leur tête le président de cette organisation ont cautionné leur soutien indéfectible. L'aide financière est donc assurée alors que d'autres voix parlent d'utilisation des moyens de l'Etat pour les besoins électoraux.Sur un autre plan, les stratèges du staff électoral de Bouteflika vont jouer sur des thèmes qui galvanisent les masses d'électeurs en vantant les mérites du bilan du Président durant ces 15 ans. La politique de réconciliation, les montants faramineux pour les réalisations infrastructurelles, la diplomatie et la sécurité seront battus en brèche durant la campagne. Mais pour ce faire, le gouvernement qui est partie prenante dans le marketing électoral va s'efforcer de convaincre par la paix sociale et l'augmentation des salaires pour certaines catégories socio-professionnelles. Il est sûr que les forts en thème tenteront encore de séduire l'électorat qui leur est acquis.Choisir et trier parmi les jeunes, retraités, les cadres moyens et la population féminine, c'est ce à quoi devraient se résoudre les experts en communication politique. Côté médiatique, le réseau des télévisions favorables à la 4e mandature de Bouteflika vont se mettre de la partie, idem pour certains journaux qui sont favorables à la succession du président candidat. C'est dire que le battage médiatique en sa faveur est une garantie supplémentaire pour les tenants du 4e mandat.