Algérie

La gestion



La gestion
Au moment où personne ne voulait prendre en main les destinées du Chabab, après le départ de Azzedine Gana, c'est un richissime homme d'affaires, ancien sponsor du club et un fervent supporter qui a fait son apparition. Réda Malek (à ne pas confondre avec l'homme politique et membre de la délégation FLN pendant les Accords d'Evian, puisqu'il ne s'agit que d'un homonyme) estime qu'il ne pouvait laisser son club du c?ur dans une position pareille et dans le flou.Jusqu'à l'heure, nul ne peut douter de la bonne foi de l'homme quant à hisser son club sur le devant de la scène, en mettant tous les moyens à sa disposition. Le constat à faire c'est que sur le plan administratif, l'homme a réussi à tout remettre en ordre, avec des joueurs et des employés payés à temps, un siège digne de ce nom à Dar El-Beïda, sans omettre plusieurs autres aspects. Cela concerne, donc, le volet de la gestion administrative, mais sur le plan de la gestion sportive, tout va dans le mauvais sens, avec des décisions qui remettent en cause la capacité de l'homme et son expérience. Cet homme n'est pas ferme dans ses prises de décision et ceux qui l'entourent ne sont pas de bons conseillers.Malek, qui est dans une position délicate. Il ne va certainement pas s'en sortir s'il ne se montre pas intransigeant pour tout remettre en place. Et cette réaction doit se faire rapidement, car au train où vont les choses, le Chabab se dirige droit vers la Ligue 2.




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